Quelques illustrations de la lignée des

Broudehoux


      Broudehoux-Blason
On dit que les Broudehoux portaient sur le chapeau le brin de houx qui les distinguait;

telle fut l’origine des Plantagenet d’illustre mémoire.

Broudehoux-collage

 
La lignée :

Jean François Broudehoux 1678-1740

Censier de la Cense du Corbeau à Douzies

&

Marie Barbe Françoise Fayart 1683-1747

|

Jean Baptiste Broudehoux 1705-1789

Censier de la Cense du Corbeau à Douzies,

échevin de Rousies

douzies_aerien

&1747

Marie Antoinette Renaud 1716-1786

|

Amand Joseph Marie Broudehoux 1748

Propriétaire, censier à Douzies et Neuf Mesnil&1788

Angélique Josèphe Nathalie Paray 1769

|

Xavier Joseph Broudehoux 1792-1875 &

Marie Bonnet 1811-1881 dont Paul, Céline (rue Blanche à Saint Maurice de Lille) et Alphonse

|

Alphonse Broudehoux 1835, 1903 ou 04,

élève à Paris de l’Ecole Centrale à l’hôtel de Juigné, rue de Thorigny,

Hotel sale

ingénieur, constructeur, épouse Maria Peterbroeck, très belle (portrait sous le second Empire), née en 1840, dont  Marie, Marguerite, Eugène +1964, Adrienne décédée à deux ans et demi ; les parents eurent une autre fille qu’ils nommèrent Adrienne. Ils  jouaient dans leur demeure de la rue Saint Amand à Valencienne du piano, Alphonse chantait; eurent jusqu’à quatre chiens se promenaient dès 1899 en bicyclettes. Les sœurs firent leurs études chez les sœurs de la sagesse à Valencienne. Sortaient dans la bonne société de la ville : les Mabille de Poncheville, les Thellier, les Vienne, les Piérard, Delgrange etc. où les Boudehoux étaient aimés pour leur » gentillesse, leur distinction naturelle et leur bonne éducation ; les bals se terminaient toujours par le « Quadrille des lanciers ».Fin du XIX°, Alphonse fit un voyage en Egypte pour ses affaires.

Quelques personnalités (sans liens généalogiques) et alliances:

Marguerite Broudehoux épousa Raymond Langlais, fou d’équitation, lieutenant de cavalerie de réserve comme son beau-frère Jean, se bat dans les tranchées de Verdun, est muté dans un Etat-Major, le quittent pour l’aviation et s’écrase en juillet 1917 au dessus de la villa familiale d’Enghien sous les yeux de sa mère et de sa femme qui fit suivre ce grand amour par plus de 50 ans de veuvage.

Hippolyte Joseph Vincent Broudehoux, né 1750, Neuf Mesnil, Nord, décédé en 1824, Maubeuge, (74 ans), prêtre, vicaire de Sepmeries et de Liessies (filleul: Agapit Joseph Broudehoux 1761-1815) (filleule: Hippolyte Marie Josèphe Le Conte 1784).

Hippolyte Marie Josèphe Le Conte, née le 12 janvier 1784, Maubeuge, Nord (parrain et marraine: Hippolyte Joseph Vincent Broudehoux 1750-1824 Marie Philippine Febvrier) (filleul: César Martial Broudehoux 1790), mariée le 31 janvier 1809, Maubeuge, Nord, avec Jean Antoine François Grossot, né le 31 mai 1780, Vesoul, Haute Saône, décédé le 1er mai 1819, Valenciennes  (38 ans), percepteur des contributions à Valenciennes.

Jean Philippe de Harveng, Censier de la cense du Corbeau, Né  1728 - Mairieux, Nord, Décédé 1785 - Neuf Mesnil, Nord, 56 ans, fils de Pierre Joseph de Harveng, seigneur d'Arbançon et Marie Gabrielle Françoise de La Croix,  marié le 13 octobre 1750, Neuf Mesnil, Nord, avec Marie Agnès Broudehoux, dont Marie Agnès Angélique.

Blason Harveng

« D’or à la bande de gueules accompagnée de  six merlettes du même posées en orle »

La seigneurie appartenait primitivement à une famille qui portait le nom d’Harvengt. Widon de Harvengt vivait en 1194. On trouve des Harvaing aux Croisades. Au  XIVème siècle, la seigneurie est possédée par Englebert d’Enghien. La terre et la seigneurie de Marchienne en Harvengt était tenue en fief par la principauté de Chimai. Elle consistait en un château, terre et toute justice (haute, moyenne et basse). Elle fut successivement propriété des familles Enghien, Luxembourg, Jaquot, Hanot, Carondelet, Le Roy, Fourneau de Virelles, Bruneau, de la Roche Marchienne. En 1310, Moreau de Harvengt aurait vendu la seigneurie à Englebert d’Enghien d’Havré. Les différents seigneurs qui possédèrent la terre par la suite utilisèrent leurs blasons sans allusion à la terre qu’ils occupaient.

Angélique Françoise Lucile Broudehoux, née le 3 janvier 1752, Neuf Mesnil, Nord, décédée le 8 mai 1834, Valenciennes, Nord (82 ans) (marraine: Marie Agnès Angélique de Harveng) (filleule: Marie Antoine Agathe Broudehoux 1759-1759),  emprisonnée à Soissons avec ses enfants sous la Terreur, elle n'échappa à l'échafaud que parce qu'elle était enceinte (ses cheveux blanchirent en une nuit), elle perdit son bébé en prison à Soissons. Libérée à Thermidor, très pieuse, fervente royaliste, très éprouvée par ces évènements, elle finit sa vie au 57, rue de Mons à Valenciennes, à demi ruinée. mariée le 6 février 1783 avec Charles Louis Le Conte dit Canteraine, né le 3 septembre 1731 et baptisé à Maubeuge, Nord, exécuté le 7 juin 1794, Cambrai, Nord, inhumé, guillotiné sur l'échafaud (62 ans), architecte et garde général des forêts du Noble Chapitre des Chanoinesses de Sainte-Aldegonde à Maubeuge, de l'Abbaye bénédictine Saint Pierre & Saint Paul d'Hautmont, et du Prieuré d'Aymeries, garde général des forêts nationales de 1791 à décembre 1793, riche propriétaire(des fermes, une ardoisière, des forêts), s'engage en 1791 comme capitaine au corps franc du 10ème Régiment de Hussards Noirs, arrêté sur dénonciation (mars 1794), emprisonné à Bapaume puis à Cambrai, tous ses biens furent confisqués, condamné à mort (19 juin 1794) " comme agent des ci-devant nobles, ayant empéché la vente des biens nationaux", « pour avoir protégé les Chanoinesses de Sainte-Aldegonde », guillotiné mort sur l'échafaud à Cambrai le 7 juin 1794, 1ère victime de Joseph Le Bon, dans la même charrette que toute la famille Thellier de Poncheville, Un de ses enfants, Charles Antoine Le Conte, né le 9 décembre 1784, Maubeuge, Nord, décédé le 9 avril 1831, Valenciennes, Nord (46 ans), fut capitaine de cavalerie, chevalier de la Légion d'Honneur.  Une demande de béatification a été introduite au Vatican par l'Evêché d'Arras en 1931. (parrain et marraine: Charles Louis Bourez Aldegonde Meurisse), dont :
Hippolyte Marie Josèphe Le Conte, née le 12 janvier 1784, Maubeuge, Nord (parrain et marraine: Hippolyte Joseph Vincent Broudehoux 1750-1824 Marie Philippine Febvrier) (filleul: César Martial Broudehoux 1790).
    Mariée le 31 janvier 1809, Maubeuge, Nord, avec Jean Antoine François Grossot, né le 31 mai 1780, Vesoul, Haute Saône, décédé le 1er mai 1819, Valenciennes (Nord) (à l'âge de 38 ans), percepteur des contributions à Valenciennes.
    Charles Antoine Le Conte, né le 9 décembre 1784, Maubeuge (Nord), décédé le 9 avril 1831, Valenciennes (Nord) (à l'âge de 46 ans), capitaine de cavalerie (parrain et marraine: Nicolas d'Herbaix Marie Antoinette Renaud 1716-1786).
    Emilie Stanislas Le Conte, née le 14 avril 1788, Maubeuge (Nord), décédée le 4 avril 1840, Fauquembergues (Pas de Calais) (à l'âge de 51 ans).
    Mariée avec Philippe André Joseph Durand, né le 30 novembre 1779, Douai (Nord), maître teinturier.
    Eugénie Léontine Le Conte, née le 1er janvier 1791, Maubeuge (Nord), morte jeune.

« Les Hussards Noirs, également appelés Hussards de Jemmapes ou Hussards francs du Nord est un escadron constitué pendant la Révolution française.  4 février 1793 : l'escadron est créé par Nestor Mairiau avec l'accord du général Dumouriez. Il s'agit d'un corps franc, ils ne font pas partie de l'armée régulière.  4 juin 1793 : l'escadron est intégré à l'armée régulière et au 10e régiment de hussards.Uniforme : flamme du bonnet : noir ;collet : noir ; dolman : noir ; pelisse : noir ; parement : rouge ; tresse : blanc ; culotte : noir. La sabretache serait ornée d'un "N" blanc sur fond rouge. Bien que l'uniforme soit entièrement noir, cet escadron ne doit pas être confondus avec les Hussards de la Mort. Même après leur union au 10e Régiment de Hussards, ils conserveront cet uniforme jusqu'en 1796.»

Robert Jourdain de Thieulloy, seigneur de Thieulloy-La-Ville, de La Bailly, de La Mothe en Sanquessière, de Narvilier et de Gentel, écuyer (1744),  Marchand, Échevin d'Amiens, conseiller secrétaire du roi de la Grande Chancellerie de France (Maison, Couronne de France et ses Finances), le 20 décembre 1737, mort en charge.

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Son fils, Charles Louis Jourdain de Muizon
seigneur de Muizon,
Conseiller du roi, receveur général des rentes de l'hôtel de ville de Paris.

Louis Jean Scrépel est l’arrière grand-père de Suzanne Boisse-Scrépel, Madame Eugène Broudehoux : son souvenir fut marquant ; elle était une cantatrice et une harpiste de talent mais elle ne put, conformément à son milieu, en faire une profession. Elle est considérée comme l’inspiratrice des dons de son arrière-petite fille Gaëtane Prouvost, violoniste soliste qui se souvenait, émue, à la « Méditaion de Thaïs » jouée par son arrière grand-mère dans son appartement du superbe 97, boulevard Malesherbes qu’elle fréquentait assidument de par sa proximité du Conservatoire de musique de Paris de la rue de Madrid. Dans cet appartement aux œuvres d’art  conformes aux gouts de la fin du XIX°, " Suzanne et Eugène Broudehoux y vécurent l’accomplissement de leur âge mur et de bonheur familial exceptionnel, largement ouvert à la famille et aux amis ; l’été c’était le Touquet ou Biarritz : Ils ne se quittaient pas, respiraient le bonheur d’être à deux : une entente quasi sans nuages qui avait duré pas très loin de 50 ans. « On peut dire que dans la famille Broudehoux, Suzanne Boisse, Adrienne Broudehoux et Suzanne Lavallée ont été, chacune, la femme d’un grand amour : c’est merveilleux, très triste, très joyeux aussi : la vie, en somme. »


BOISSE-SCREPEL

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Eugène Broudehoux, né le 18 juin 1881 à Anzin, canton de Valenciennes dans le nord (59).décédé le 1er août 1954 (à l'âge de 73 ans).
Marié en 1906 avec Suzanne Boisse, née le 4 septembre 1885, décédée le 16 juin 1981 à 96 ans.


Broudehoux-Boisse

97-boulevard-Malesherbes-Suzanne-Broudehoux-Boisee  14-rue-Vezelay-Paris-Suzanne-Broudehoux-Boisse

Le 97, Malesherbes et l’autre coté, 14, rue de Vézelay


Suzanne Boisse est l’enfant unique de Jules Boisse (1861-1938) et Marguerite Scrépel, fille de Paul Scrépel et Mathilde Masurel ici représentés chez eux dans sa jeunesse.
« Madame Eugène Broudehoux, née Suzanne Boisse-Scrépel, était parente des Virnot, des Ovigneur, des Prouvost-Scrépel; elle était enfant unique; son père était Jules Boisse, distingué, col cassé et sa femme Scrépel ressemblait tout à fait à sa fille Suzanne, mais était plus grande et plus forte: Brigitte Prouvost-Virnot les a très bien connue, éternellement de part et d’autre d’une cheminée à l’étage de leur maison  authentiquement Napoléon III de Lille, très cossue jusqu’aux tabourets capitonnés.
Jules Boisse était frère d’André Boisse qui épousa Marie Ovigneur, sœur de Marguerite Ovigneur épouse d’UrbainVirnot: leurs enfants étaient donc cousins germains de Marcel Virnot: André Boisse, Germaine Boisse qui adopta Nicolette et dont nous avons la photo et une autre sœur qui se maria avec un directeur de journal à Lille. Marcel Virnot était très attaché à André Boisse qu’il voyait chaque semaine: ils jouaient au poker avec Roger Broudehoux ,très fidèle à ces soirées pendant de longues années. Brigitte Prouvost-Virnot  garde un souvenir assez affectueux : « l’oncle Roger m’emmenait toujours dans ses nouvelles voiture et me les faisait conduire dans le jardin botanique de La Madeleine: j’étais admiratif de ces voitures rutilantes, avec ces chromes très bien silhouetté.»
André Boisse avait des parents cousins germains et était un peu faible; sa bonne polonaise était sa maîtresse et Marcel Virnot les a fait marier par un prêtre, à l’évacuation ; ils ont accompagné les Virnot en évacuation et ont partagé leur vie en Normandie à Saint-Lô, là où les Virnot obtinrent, réquisitionnées, les deux plus grandes villas réquisitionnées par la mairie pour cette si nombreuse familles.
La mère d’André Boisse, née Ovigneur, est descendue dans le midi avec sa fille Germaine et ont rencontré au marché une petite fille de 12 ans qui vendait des fleurs et la tante Marie et sa fille Germaine lui a demandé de venir chez elles; je garde le meilleur souvenirs de mes contacts avec cette jeune  Nicolette qui avait une voix très élégante, une façon de se tenir très charmante: les tantes lui ont appris les bonnes manières et la couture et était toujours vêtue avec des jupes faites en petits coupons de jacquard; en voyage de noces, j’ai tenu de voir Nicolette et je retrouvais des meubles flamands de la famille et cette voix élégante qui m’a marqué pour la vie.
Les Broudehoux venaient d’Anzin et n’appartenait pas au monde industriel, tout comme les Virnot. L’environnement des Broudehoux était assez élégant et opulent.
Bonne maman Broudehoux a longtemps habité à Paris (a abrité Miloud Eloy pour ses études à HEC) au 97, boulevard Malesherbes et avait toujours sa maison rue de l’Hôpital Militaire héritée de son père: « Boisse et Broudehoux » devenu par la suite Broudehoux-Boisse quand cela a été repris par ses fils. A Paris, elle aimait sa liberté: le théâtre, les grands restaurants (Lasserre), les mondanités, les amis et les antiquités. Elle avait très peur de la vieillesse et achetait de petits objets pour avoir des visites de ses petits enfants: elle donna à sa fille Simone, une liseuse en bronze qui est chez Brigitte Prouvost. Nous avons aussi hérité d’un immense Christ en croix en ivoire qui venait, de toute évidence, de sa famille.
Cet appartement du boulevard Malesherbes était une loi 48 gérée par un syndic d’immeuble Rolland-Gosselin; Bonne Maman allait à la messe à Saint Augustin. Dans l’appartement, grand salon avec petite chambre; dans le buffet de l’entrée, des cakes, toujours rassis et avec une odeur très particulière. Je me rappelle des pommes de terre à la végétaline: on déjeunait toujours dans la chambre sur la table de bridge, servi par la gouvernante; Bonne maman y trônait et à la fin se levait et nous ouvrait cérémoniellement une immense armoire en acajou XIX°, en sortait une tablette de chocolat dont elle offrait généreusement un carré, ce qui semblait d’autant meilleur; elle nous a raconté les promenades chez les antiquaires afin de réunir tous les cadeaux pour ses enfants et petits enfants; elle adorait aussi faire les bouquinistes.
Souvenirs de Gaëtane Prouvost, fille de Christian et Brigitte: toutes les semaines, le lundi, rendez-vous fixe car Gaëtane avait ses cours au Conservatoire: Bonne maman était l’antenne parisienne de la famille: soit Bonne maman ouvrait soit c’était sa gouvernante un peu sous sa domination. Elle avait des talents de musicienne reconnus: sa voix faisait chanceler les lustres, elle jouait au violon et avait le répertoire de l’époque  qu’elle n’a pas eu la possibilité de continuer car cela ne se faisait pas. Le directeur de l’Opéra de Paris a rencontré des personnalités du Conservatoire de Lille pour qu’elle vienne travailler à Paris: ses parents n’ont pas voulu: Elle a été en contact avec un certain Pierre Duchene qui était du Nord et qui lui avait donné une partition. Gaëtane l‘a encore. Elle était fière de son arrière petite fille. Un peu plus tard, Gaëtane a joué la Méditation de Thaïs et Bonne maman la lui a jouée avec tous les doigtés, avec tous les conseils de glissando."
Puis elle retourna vivre à Lille avec la vieillesse: d’abord sur le Grand Boulevard reliant Lille et Roubaix et Tourcoing dans un immeuble d’après-guerre reconstruit sur une destruction qu’elle acheta puis dans un immeuble moderne sur un vaste jardin  avenue Saint Maur, avenue Emile Zola; elle allait souvent à la messe chez les religieux dominicains de la Madeleine,
Son mari, Eugène Broudehoux, était un homme très doux, distingué, très élégamment vêtu et discret, très travailleur: je le vois tenir les rênes de son affaire, fondée par les Boisse: affaire textile de table, de décoration; La maison de l’Hôpital Militaire était très grande: le bas était le show-room et la cour couverte étaient les entrepôts; il y avait un bureau double ( Eugène et son fils Michel) et après Michel et Roger qui nous demandait d’aller dire bonjour au personnel et de dire bonjour à René un employé qui était assis sur chaise très haute et nous donnait des bonbons. » Brigitte Prouvost-Virnot
"Je me souviens de Bon Papa, Eugène Broudehoux, j'avais 4 ans quand il est parti. On m'a conduite à son chevet. Il était chez tes grands parents, tante Simone et mon oncle Marcel Virnot, à La Madeleine pour ses derniers jours, avant le 1er août 1954. Lui aussi, comme mon autre grand père, m’a accompagnée toute mon enfance avec son image dans mon missel.
Bonne Maman Broudehoux a été veuve pendant 27 ans. Elle a vécu à Paris, au 97 Boulevard Malesherbes. Elle adorait chiner chez les brocanteurs et nous offrir ses trouvailles. Elle aimait aussi l’opéra et chantait les airs qu’elle avait entendus, dans la rue en sortant.  Pour ses dernières années elle est venue habiter à Lille dans le nord. Elle était capable d’une vraie affection. La famille de ma sœur Anne Mas de Tréhoult, née Broudehoux, l’appelait Mizou.
Par le père de Bonne Maman, Monsieur Boisse et Bon Papa Broudehoux est née l’affaire Broudehoux-Boisse. Voici l’histoire confirmée dans les mémoires de Narcisse Faucheur : à l’origine, Narcisse Faucheur, jeune soldat de Napoléon à la bataille de Waterloo. Il faisait partie des soldats « Les Marie Louise ». Il a participé aux batailles de l’Eylau et de Friedland. A la chute de Napoléon, il a fait l’exploit de créer une affaire alors qu’il était banni et boycotté par les royalistes. Il parcourait la France en diligence pour faire du négoce en filature textile. Il a pris comme grand directeur, Monsieur Boisse,  le père de Suzanne Boisse, notre grand-mère. Il lui faisait entièrement confiance. Il lui a vendu son affaire. Monsieur Boisse, notre arrière grand père alors propriétaire de l’affaire, n’avait pas de fils. Il avait deux filles, dont Suzanne Boisse, et quand elle a épousé notre grand père Eugène Broudehoux, il a pris la tête de l’affaire et l’a appelée Broudehoux-Boisse. Pour sa succession, c’est mon père, Michel Broudehoux avec son frère Roger Broudehoux qui ont développé l’affaire Broudehoux-Boisse en France. Mais surtout ils n’ont pas hésité à parcourir le monde pour développer leur affaire dans toutes les colonies françaises. Ils devaient être très créatifs pour faire prospérer leur affaire de textile et linge de maison. Beaucoup d’affaires de textile durant mon enfance ont fait faillite dans le nord. Puis ce sont mes frères et mes cousins qui ont pris tête de l’affaire, maintenant se sont mes neveux, fils de Jean Broudehoux qui la dirigent, Geoffroy et Jean Eudes." Myriam Delaoutre-Broudehoux

Une de leur filles, Simone,  épousa Marcel Virnot, l'autre, Solange, épousa Emile Eloy.

Eloy-Broudehoux

Dans la propriété des Eloy : le beau-frère d’Emile Eloy, Marcel Virnot à gauche penché, Eugène Broudehoux ( pochette blanche) suivi par Simone Virnot-Broudehoux.

Eloy-Broudehoux

Mariage d'Emile Eloy et Solange Broudehoux

Eloy-Duviller-Roubaix-bd-paris-sept-1919

Réunion Eloy-Duviller à Roubaix, boulevard de Paris en septembre 1919

Gaetane-Francescatticonservatoire-Paris

Gaëtane Prouvost, son arrière petite fille et son maître Zino Francescatti ; le Conservatoire de la rue de Madrid

"Premier prix de violon et de musique de chambre du Conservatoire de Paris, Gaëtane Prouvost a poursuivi sa formation à la Juilliard School de New York auprès d’Ivan Galamian comme nombre des virtuoses contemporains. Mais son véritable maître sera Zino Francescatti, l’un des grands violonistes du siècle et unique héritier de la technique de Paganini. Elle lui a consacré une biographie1 et enregistré un disque de ses compositions originales et transcriptions.

Gaëtane Prouvost est avant tout une concertiste. Son jeu se prête aussi bien à la légèreté du répertoire baroque, qu'à la gravité mozartienne. Il excelle dans les grands romantiques et restitue aux contemporains qualité émotionnelle et musicalité.

Dédicataire de plusieurs œuvres, elle est fréquemment invitée par l'Ensemble intercontemporain où elle joue sous la direction de Kent Nagano, Gary Bertini et Pierre Boulez. Choisie par Olivier Messiaen, elle est l'interprète du Quatuor pour la Fin du Temps lors de sa création en U.R.S.S.

Gaëtane Prouvost est également une chambriste qui se plaît à faire chanter son violon à l'écoute des autres: Noël Lee, Laurent Cabasso, Emmanuel Strosser, Jean-Paul Sevilla, Anne Queffélec, Roland Pidoux, Bruno Canino, Yvan Chiffoleau, Jean-Philippe Collard, etc.

Diplômée de l'Institut Supérieur de Pédagogie, elle partage actuellement ses activités entre une carrière de soliste et l'enseignement au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris comme dans diverses académies en France et à l'étranger. Certains de ses élèves sont dès aujourd'hui lauréats des grands concours internationaux.

Auprès de Marie-Christine Barrault, Gaëtane Prouvost a monté un spectacle Littérature et Musique intitulé "Vol de nuit", basé sur des textes d’Antoine de Saint-Exupéry.

Les deux sonates de Prokofiev pour violon et piano que Gaëtane Prouvost a enregistrées chez Forlane avec Abdel Rahman El Bacha, ont suscité l'enthousiasme de la presse (Disque Choc du Monde de la Musique).

L'œuvre pour violon et piano de Gabriel Pierné a été enregistrée avec Laurent Cabasso pour le label Integral Musique (octobre 2006).

En 2008, elle enregistre l'oeuvre pour violon et piano de la compositrice française Louise Farrenc pour le label Integral Classique."

Le frère de Gaëtane, Thierry Prouvost travailla un grand nombre d’années dans l’immobilier au 31, rue de Monceau et boulevard Haussmann.

L’entreprise Broudehoux-Boisse présente la particularité d’être restée dans la même famille depuis sa fondation en 1845. De négociant en toiles, l’activité a peu à peu évolué vers la confection des toiles, et aujourd’hui fabricants de linge de maison, à 99 % pour la grande distribution et la VPC.

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Jean-Eudes et Geoffroy Broudehoux, dirigeants de la S.A. Broudehoux Boisse.

L’arrière petit fils de Suzanne Broudehoux, Loïc Besnard et son épouse Chloë Fréreau, architecte, habitent en famille une charmante maison à colombages au 103, boulevard Malesherbes.

Quelques souvenirs et photographies envoyés par Myriam Delaoutre-Broudehoux sur sa mère:
Monique Broudehoux Toulemonde,
ses parents, ses frères et sœurs et ses beaux frères, belles sœurs.
 « Monique est la fille d’ Édouard Toulemonde et Léonie Gilain-Caulliez ; ils ont eu 10 enfants vivants,
Monique  est la 9me.
Léonie Charlotte Marie Désirée, Gilain, 7 septembre 1879 à Roubaix, était la fille de Armand Augustin Jacques Philippe Désiré Gilain et de Henriette Caroline Eudoxie Joseph Caulliez son épouse.
 Elle nous a quitté le 24 juin 1979 à presque 100 ans.
 Édouard Charles Clément Joseph Toulemonde, est né le 27 août 1880 à Roubaix, fils de Paul Alphonse Joseph Toulemonde et de Rosalie Florine Hyacinthe Parent son épouse, décédé le 4 mars 1953 à Neuilly ;caveau dans le cimetière de Neuilly. »

 « Je n'ai pas connu mon grand père, Édouard Toulemonde. Il avait une douzaine de chevaux de course, dont Comète et Épinard qui a gagné de nombreuses courses durant plusieurs années, dont le Grand Prix d'Amérique.
Il est décédé, à Neuilly, le 4 mars 1953, alors que je n'avais que 3 ans.
Pour moi sa seule présence est une image dans mon missel.
Il y a le caveau Toulemonde dans le cimetière de Neuilly, presque sous la Grande Arche de la Défense.
Mes grands parents y sont au repos ainsi que beaucoup de mes oncles et tantes." Myriam Delaoutre-Broudehoux

 Broudehoux-Toulemonde
Léonie, née Gilain et Edouard Toulemonde et leurs 10 enfants née entre 1902 et 1915.
Voici une famille qui a vécu très âgée.

De gauche à droite au 1er rang :
- Joseph, 7ème enfant, 1910-2003. Il a vécu 93 ans. À droite, assise le pied sur un coussin :
- Léonie née Gilain-Caulliez, 1879-1979. La mère. Elle a vécu 100 ans. À  droite debout :
- Monique, 9ème enfant, 1913-2007. Elle a vécu 94 ans. À  droite, assis sur une chaise :
- Edouard Toulemonde-Parent, 1880-1953. Le père. Il a vécu 73 ans. À  droite, debout :
- Georges, 10ème enfant, 1915-1962. Décédé en accident de voiture à 47 ans. À  droite :
- Bernadette, 5ème enfant, 1908-2007. Elle a vécu 99 ans. À  droite, assise jambes croisées :
- Madeleine, 8ème enfant, 1912-2014. Elle a vécu 102 ans.

De gauche à droite au 2ème rang, tous debout :
- Edouard fils, 1er enfant, 1902-1987. Il a vécu 85 ans. À  droite :
- Marie Henriette ou tante Mariette, 4ème enfant, 1906-1978. Elle a vécu 72 ans. À  droite :
- Jean, 2ème enfant, 1904-1990.il a vécu 86 ans. À droite :
- Léonie, 3ème enfant, 1905-1981. Elle a vécu 76 ans. Puis à  droite, plus petit :
- Gérard, 6ème enfant, 1909-2003. Il a vécu 94 ans.
 
Toulemonde-Edouard-medailles.jpg

Toulemonde-Edouard-medailles

toulemonde-Gillain
Edouard Toulemonde et Léonie née Gilain, son épouse sont assis au premier plan.
- Édouard Charles Clément Joseph Toulemonde
Il est né le 27 août 1880 à Roubaix, fils de Paul Alphonse Joseph Toulemonde
et de Rosalie Florine Hyacinthe Parent son épouse.
Il est décédé le 4 mars 1953, à Neuilly alors que je n'avais que 3 ans.
- Léonie Charlotte Marie Désirée, Gilain, épouse Toulemonde
Elle est née le 7 septembre 1879 à Roubaix,
fille de Armand Augustin Jacques Philippe Désiré Gilain
et d’ Henriette Caroline Eudoxie Joseph Caulliez son épouse.

Leurs 10 enfants sont debout derrière eux. De gauche à droite :
- Joseph, 7ème enfant, 1910-2003. Il a vécu 93 ans.  À droite :
- Monique, 9ème enfant, 1913-2007. Elle a vécu 94 ans. À droite :
- Bernadette, 5ème enfant, 1908-2007. Elle a vécu 99 ans. À droite :
- Gérard, 6ème enfant, 1909-2003. Il a vécu 94 ans. À droite :
- Léonie, 3ème enfant, 1905-1981. Elle a vécu 76 ans. À droite :
- Jean, 2ème enfant, 1904-1990.il a vécu 86 ans. À droite :
- Marie Henriette ou tante Mariette, 4ème enfant, 1906-1978. Elle a vécu 72 ans. À droite :
- Georges, 10ème enfant, 1915-1962. Décédé en accident de voiture à 47 ans. À droite :
- Madeleine, 8ème enfant, 1912-2014. Elle a vécu 102 ans. À droite :
- Edouard fils, 1er enfant, 1902-1987. Il a vécu 85 ans.


Broudehoux-Toulemonde
Environ 1952
De gauche à droite et de bas en haut
- Marie Louise née Fisk, épouse de Jean. Puis à coté à droite :
- Edouard Toulemonde fils, 1er enfant. Au dessus à droite :
- Daniel Sion, petit fils, 1er fils de Marie Henriette. Et on redescend en bas assis sur le tapis :
- Eugène Toulemonde, petit fils, 1er fils de Jean Toulemonde. Au dessus un peu à droite :
- Marie Ange, épouse d’Edouard fils. Au dessus :
- Monique, épouse Broudehoux, 9ème enfant. Juste à coté, à l’arrière :
- Michel Broudehoux, époux de Monique. Et on redescend, assis sur le fauteuil :
- Edouard Toulemonde, père de famille, 1880-1953. Et au dessus :
- Bernadette, épouse Lahousse, 5ème enfant. Au dessus dépassant tout le monde :
- Gérard Toulemonde, 6ème enfant. En dessous :
- Georges Demange, époux de Léonie. À droite :
- Léonie, épouse Demange, 3ème enfant. À droite, derrière :
- Georges Toulemonde, 10ème enfant. À droite :
- Maddie, née Bochard, épouse de Gérard. Puis en dessous, assise dans un fauteuil :
- Léonie née Gilain, mère de famille, 1879-1979. Et au dessus, regardant à gauche :
- Maurice Deldique, époux de Madeleine. Légèrement plus bas à droite :
- Madeleine, épouse Deldique, 8ème enfant. Puis tout en bas assis sur le tapis :
- Jean Toulemonde fils, petit fils, 2ème fils de Jean Toulemonde. Au dessus :
- Monique, née Leblan, épouse de Georges. Au dessus un peu à droite :
- Charlotte née Martin, épouse de Joseph. Au dessus devant le rideau :
- Joseph Toulemonde, 7ème enfant. Puis on redescend à droite, avec un chemisier blanc :
- Marie Henriette, épouse Sion, 4ème enfant. Plus haut, sur le coté droit :
- Pierre Sion, époux de Marie Henriette. Et au dessus :
- Jean Toulemonde, 2ème enfant.


Broudehoux-Toulemonde

Mariage de Gérard Toulemonde avec Maddie née Bochard.
De gauche à droite et de bas en haut.
- Michel Broudehoux, 1907-1993, époux de Monique. Puis à coté, à droite :
- Monique Broudehoux née Toulemonde, 1913-2007. À coté, à droite :
- Madeleine Toulemonde, sera épouse Deldique, 1912-2014. Décédée à 102 ans. Au dessus :
- Edouard Toulemonde fils, 1902-1987. En bas assise, ma grand-mère :
- Léonie Toulemonde née Gilain, 1879-1979. Décédée à 100 ans.
Au dessus, mon grand père :
- Edouard Toulemonde, 1880-1953. À droite derrière :
- Pierre Sion, 1901-1981, époux de Marie Henriette. À coté, à droite :
- Marie Henriette Sion, née Toulemonde, 1906-1978. En bas assise, la mariée :
- Maddie Toulemonde, née Bochard, 1913-1977, épouse de Gérard. Au dessus, le marié :
- Gérard Toulemonde, 1909-2003. Au dessus :
- Georges Toulemonde, 1915-1967. En bas à droite :
- Etienne Lahousse, 1904-1954, époux de Bernadette. À coté, à droite :
- Bernadette Lahousse, née Toulemonde, 1908-2007. Au dessus à gauche :
- Jean Toulemonde, 1904-1990. Plus bas à droite :
- Léonie Toulemonde, sera épouse Demange, 1905-1981. À droite :
- Marie Louise Toulemonde, née Fisk, 1904-1990. Au dessus :
- Joseph Toulemonde, 1910-2003.


Broudehoux-Toulemonde

"Voici la maison de la famille de Léonie et Edouard Toulemonde, maison de mes grands parents. C'est au 38 rue Perronet à Neuilly
Ma mère, Monique, 9ème enfant m’a dit y avoir passé son enfance.
A cette adresse maintenant il y a deux immeubles.
Dans les années 1990, ma mère m'a demandé de l'y conduire, 
Elle n’y a reconnu qu’un arbre de son enfance.
Pour ma part, je n'ai vu ma grand mère qu’au 16 rue Pierre Chérest, à Neuilly (92)
Puis dans le Nord. Elle y a vécu jusqu’à ses 100ans, le 24 juin 1979. Elle me disait avoir vécu le début de l’industrie, le 1er train, la 1ère voiture, le 1er avion  et la 1ère fusée sur la lune: le spoutnik. Elle s’en émerveillait.

"Léonie Toulemonde, née Gilain. Ma grand-mère Toulemonde était très artiste, elle a crée des herbiers, des enluminures, etc. J’ai hérité de ses petits outils de sculpture. Je lui dois probablement beaucoup. Je ne l’ai pas connue dans son art, j’étais trop petite, elle habitait Neuilly et moi le nord. Voici un petit exemple de ses dons à travers ses cahiers d’école" Myriam Delaoutre-Broudehoux

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Mariage de Michel Broudehoux avec Monique née Toulemonde probablement en 1932

De gauche à droite,
- Edouard Toulemone, père de la mariée. À droite :
- Suzanne Broudehoux, née Boisse, mère du marié. À droite :
- Eugène Broudehoux, père du marié. À droite :
- Monique Broudehoux, née Toulemonde, la mariée. À droite :
- Michel Broudehoux, le marié. À droite :
- Léonie Toulemonde, née Gilain, mère de la mariée

"Dans cette nombreuse famille d’Edouard Toulemonde : des chefs d’entreprise, des créateurs d’affaire :

- Edouard Toulemonde mon grand père, vivait à Neuilly, (92) mais il avait son usine de textile à Lannoy près de Roubaix dans le nord. Plus tard, ce sont ses fils, Edouard fils et Joseph qui l’on reprise. Le grand père possédait des chevaux de course.
- Gérard Toulemonde a créé l’affaire Toulemonde-Bochard. Affaire de tapis qu’il a développée en n’hésitant pas à aller à l’étranger. Avec son fils Gérard fils, ils se sont lancés à faire des tapis de grands artistes contemporains.
- Maurice Deldique est à l’origine du crédit. Il a créé le CGI, maintenant revendu à la Société Générale.
- Pierre Sion avait développé une affaire de peinture en bâtiment et de colle, l’affaire Bessier.
- Georges Demange, époux de Léonie fille, née Toulemonde, était un grand voyageur,  il faisait des conférences dans de nombreux pays, principalement en Afrique noire et en Indochine. Voici ce que dit Béatrice sa fille : « Mon père était surtout un cinéaste averti qui a fait des films remarquables dès le début des années 20,  en 16 mm format professionnel. En particulier sur son voyage en Indochine,  aussi sur la Chine et ce dès les années 20 ! Puis dans les années 40, sur son voyage à travers le Sahara jusqu’en Afrique noire. Ces films  ont été légués par mes soins à la Cinémathèque de Lorraine à des fins d'exploitation et de conservation. Plusieurs cinéastes dont Jean-Jacques Annaud ou Jacques Perrin se sont servis de ces films comme documents pour faire leur propre film relatant des événements en Indochine. »
- Michel Broudehoux avec son frère Roger Broudehoux a développé l’affaire Broudehoux-Boisse en France. Mais surtout ils n’ont pas hésité à parcourir le monde pour développer leur affaire dans toutes les colonies françaises. Affaire de textile et linge de maison.
(Pour l’origine de l’affaire Broudehoux, je la développe après les photos de nos grands parents Suzanne et Eugène Broudehoux-Boisse.)
- Elisabeth, la fille de Jean Toulemonde m’a dit : « Ma maman s'appelait Marie Louise Fisk et Sweet était le nom de jeune fille de sa mère. Son père : Eugène Liman Fisk, célèbre médecin chercheur, a écrit de nombreux articles sur la préservation de la santé, traduits dans un grand nombre de langues. Il est a l'origine de la création du "Life institute" de New York qui existe toujours. » Eugène, fils aîné de Jean Toulemonde  dit valoir sa vocation de médecin à son grand père.

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 Le beau frère de Suzanne Broudehoux-Boisse, Jean Broudehoux  fit l’école de cavalerie de Saumur sans faire Saint Cyr ; il était un merveilleux cavalier ; en poste à Compiègne, lieutenant au 5°dragon, il fit la connaissance de Suzanne Lavallée, fille unique, riche héritière; ils se marient en 1911 ; invités parce ce que riches et beaux, ils sont la coqueluche de la ville : raouts, chasses à cour, bals ; Jean fit partie de l’équipe de France de concours , ayant les moyens de s’offrir des chevaux à la mesure de son talent, il est recordman du monde de saut ; hélas, il décéda d’un accident de cheval  laissant sa veuve désespérée.
(Documents Jean Broudehoux-Leurent)" Myriam Delaoutre-Broudehoux

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Broudehoux-Jean

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Le lieutenant BROUDEHOUX sur son cheval d’armes « Héroïde »

"Les journaux politiques ont noté la mort si triste de M. Jean Broudehoux, lieutenant au 5ème régiment de dragons à Compiègne, l’un des plus connus et les plus sympathiques de France. Cette mort nous touche particulièrement ; le défunt, qui était un de nos compatriotes, était né à Anzin et était le beau-frère de Raymond Langlais, rédacteur en chef du «Grand Hebdomadaire Illustré », auquel nous adressons l’assurance de nos plus affectueuses et sincères condoléances pour sa famille et pour lui. Au point de vue sportif, comme le dit l’ « Echo de Paris », « brillant lauréat des concours hippiques, heureux représentant des couleurs françaises dans les épreuves internationales, le lieutenant Broudehoux était un homme de cheval accompli. »
Au point de vue personnel, c’était un homme parfait, un officier des plus distingués et aimant passionnément son métier. Il y a moins d’un an il avait épousé Mlle Suzanne Lavallée, qui appartient à une des familles les plus connues et les plus distinguées de Normandie. Il était aimé de tous ceux qui le connaissaient ; un brutal accident est venu briser sa carrière et l’enlever à l’affection des siens."

Suzanne Broudehoux, le 3 juin 1922, épousa Jacques Gaston Ménier, né le 22 janvier 1892 à Paris, décédé le 8 mai 1953 à Bussy Saint Martin (77), le riche héritier des chocolats Ménier, maire de Noisiel, 1934, aviateur gravement blessé aux commandes de  son avion de l'escadrille Nieuport le 19.08.1917, tombé dans les lignes Allemandes ; il restera défiguré.

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Ils habitaient l’hôtel Menier à l’angle de la rue Emile Menier, actuelle Ambassade du Portugal. Van Dongen fit le portrait de Suzanne ; on achète une ile pour l’élevage des renards argentés, Anticosti dans la baie du Saint Laurent ; leur résidence secondaire fut le château de Chenonceau.Ils n’eurent pas de postérité.

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L’hôtel Ménier sur le parc Monceau à Paris

Menier-Chenonceau

Chenonceau

 

JACQUES MENIER AVIATEUR DE GUERRE

 

soldat de la classe 1912, Jacques Menier fut incorporé en octobre de la même année à la 1er compagnie, 1er groupe des aérostiers du 1er régiment de génie à Saint-Cyr, où il resta jusqu'au courant de 1914.

A cette date il fut affecté au parc aéronautique n° 8 Bréguet, Michelin. Le 2 avril 1916 il entrait à l'école de pilotage de Tours et obtenait le 25 avril, au titre militaire, le brevet de pilote n° 4031. Le 3 août 1916 il était dirigé sur l'école de moniteurs d'Arvord et, le 7 septembre de la même année, il obtenait le brevet de pilote par la fédération aéronautique internationale portant le n° 4255. Le 4 novembre 1916 il entrait à l'école de chasse de Pau. Le 2 février il était affecté à l'escadrille Nieuport 84-G-C-13. Le 19 août 1917 il était blessé en combat aérien et fait prisonnier.

La patrouille partait en mission photographique. Dans cette opération Jacques Menier remplaçait son camarade Wertheimer immobilisé au moment du départ.

Le matin même, au cours d'une reconnaissance l'appareil de Jacques Menier avait subi des dégâts réparés en toute hâte.

C'est dans ces conditions qu'il décolle, son appareil grimpant un peu moins vite que celui de son chef, le lieutenant de Bonnefoy.

Première escarmouche vers 18 heures 30 avec un appareil allemand, Jacques Menier n'hésita pas à piquer dessus et à le poursuivre. Ce faisant, il fut entraîné plus avant dans le secteur de l'adversaire sans réussir à descendre l'avion.

Cette digression l'avait éloigné de la patrouille, c'est pourquoi, il prit de la hauteur pour rejoindre ses camarades sur les lignes.

Il planait à 3.800 mètres et se rapprochait des lignes françaises, lorsqu'il aperçut une patrouille allemande de six appareils rentrant chez elle.

Il attaqua l'un des trois avions du dernier groupe. Aussitôt les six se mirent à le harceler deux par deux de chaque coté. Le combat se déroulait à une cadence très rapide. Au bout de quelques minutes l'un des assaillants pu se placer sous la queue de l'appareil français.

L'allemand lâcha une salve de quelques balles qui touchèrent leur but. Un projectile, après avoir percé le calot de fourrure de Jacques Menier glissa entre la peau et le crâne du côté gauche arrière de la tête. Un deuxième se logea dans le réservoir d'essence de l'appareil qui prit feu instantanément.

Jacques Menier continua sa course vers la terre laissant son appareil l'entraîner et préparant de son mieux le contact avec le sol.

Il brisa son pare-brise, il troua la carlingue avec ses pieds, afin de créer un appel d'air à l'intérieur et de rabattre ainsi les flammes qui lui brûlaient la tête.

Dès qu'il aperçu les arbres, il redressa son appareil et piqua dans une clairière, ou, du moins, ce qu'il pensait être une clairière.

Il atterrit à peu près normalement, déboucla sa ceinture et sauta hors de l'appareil.

Immédiatement il fut fait prisonnier par le commandant de la batterie d'artillerie allemande positionnée à quelques mètres de l'événement.

Le 19 août 1917 18h20

Départ pour une mission photographique du terrain de Sénart près de Verdun.

Le 19 août 1917 18h50

Atterrissage de fortune à 4 Kilomètres à l'est de Damvillers

Du 20 août au 2 octobre 1917

Séjour au théâtre lazaret hôpital allemand à Montmédy.

Du 4 octobre au 15 octobre 1917

Séjour à l'hôpital des prisonniers à Trèves.

Du 16 octobre au 5 novembre 1917

Séjour au lazaret de Saarbrucken.

Du 5 novembre au 21 novembre 1917

Séjour au lazaret du camp de Bernau.

Du 21 novembre 1917 au 21 juillet 1918

Séjour au lazaret de Furtenfeldbruck Puchheim.

Le 24 août 1918

Séjour à l'hôpital Munsterlingen en Suisse.

Le 6 septembre 1918

Séjour dans la région d'internement de Montreux en Suisse.

Le 20 septembre 1918

Rapatriement et Mise en position de congé de convalescence.

Le 21 février 1919

Démobilisation.

 

Mr Jacques Menier a été grièvement blessé par balle et par brûlures au visage. Il a obtenu la croix de guerre avec deux citations, une à l'ordre de la 11 ème armée en novembre 1917, la deuxième à l'ordre des armées du Nord et du Nord-Est en octobre 1918. La médaille militaire en février 1919 ainsi que la croix de guerre avec palme. Enfin en vertu du décret du 1er janvier 1927 M. Jacques Menier fut fait chevalier de la Légion d'honneur par le gouvernement de la République.

Le 11 Février prise d'armes aux Invalides. Remise de la Croix de la Légion d'Honneur par

le Général Gouraud

Émile Menier fut le commanditaire de l'hôtel du 5 avenue Van Dyck, oeuvre de l'architecte Henri Parent et du sculpteur-décorateur Jules Dalou, construit entre 1870 et 1872. Ce célèbre hôtel parisien donnant sur le parc Monceau inspira Émile Zola dans la Curée et Philippe Hériat dans la famille Boussardel.

Emile_Justin_Menier_Portrait

Photographie : l'hôtel du 8 rue Alfred de Vigny.

L'hôtel du 8 rue Alfred de Vigny de style néogothique tardif, commandité par son fils aîné Henri Menier en 1880 et qui abrite aujourd'hui le Conservatoire International de Musique, est aussi d'Henri Parent à qui on doit encore la tombe d'Émile Menier au cimetière du Père Lachaise.

Le nom de l'architecte Eugène Ricard est également attaché à celui des Menier. Il réalisa à Paris le siège social de l'entreprise familiale rue de Chateaudun (1882-83), les grandes écuries du château de Noisiel (1890) et la villa Camille-Amélie avenue du Maréchal Juin à Cannes (1890) pour la veuve d'Émile Menier.

Villa Camille-Amélie - de Eugène Ricard - Avenue Maréchal Juin

19

Edifiée en 1888 pour la mère de Gaston Menier sur un terrain escarpé proche du château Scott. C'est une grande villa éclectique aux accents classiques et italianisants. Trois niveaux se dressent sur une terrasse qui abrite des pièces habitables. Corps central encadré d'une aile et d'une rotonde à l'ouest, d'une autre rotonde à l'est ; porche d'entrée au nord. Baies de formes diverses, colonnes corinthiennes, balustrades et chaînages à bossages. Un quatrième niveau moderne a été ajouté.

Photographie : l'hôtel du 4 avenue de Ruysdael.

Dans le quartier du Parc Monceau, citons encore deux autres hôtels achetés par Gaston Menier, le benjamin :
l'hôtel Camondo au 61 rue Monceau,

Musée Nissim de Camondo - exterior.jpg
et l'hôtel du 4 avenue de Ruysdaël qui abrite aujourd'hui le Conseil National de l'Ordre des Pharmaciens.

Hippolyte Joseph Vincent Broudehoux, né le 23 janvier 1750, Neuf Mesnil, Nord, décédé le 28 octobre 1824, Maubeuge, Nord (74 ans), prêtre, vicaire de Sepmeries et de Liessies (filleul: Agapit Joseph Broudehoux 1761-1815) (filleule: Hippolyte Marie Josèphe Le Conte 1784).

Angélique Françoise Lucile Broudehoux, née le 3 janvier 1752, Neuf Mesnil, Nord, décédée le 8 mai 1834, Valenciennes, Nord (82 ans) (marraine: Marie Agnès Angélique de Harveng) (filleule: Marie Antoine Agathe Broudehoux 1759-1759). emprisonnée à Soissons avec ses enfants sous la Terreur, elle n'échappa à l'échafaud que parce qu'elle était enceinte (ses cheveux blanchirent en une nuit), elle perdit son bébé en prison à Soissons. Libérée à Thermidor, très pieuse, fervente royaliste, très éprouvée par ces évènements, elle finit sa vie à Valenciennes, à demi ruinée.Mariée le 6 février 1783 avec Charles Louis Le Conte de Canteraine, né le 3 septembre 1731, Maubeuge, Nord, exécuté le 7 juin 1794, Cambrai, Nord, inhumé, guillotiné sur l'échafaud (62 ans),    architecte et garde général des forêts du Noble Chapitre des Chanoinesses de Sainte-Aldegonde à Maubeuge, de l'Abbaye bénédictine Saint Pierre & Saint Paul d'Hautmont, et du Prieuré d'Aymeries, capitaine au 10ème Régiment de Hussards Noirs, arrêté sur dénonciation (mars 1794), emprisonné à Bapaume puis à Cambrai, tous ses biens furent confisqués, condamné à mort (19 juin 1794) « pour avoir protégé les Chanoinesses de Sainte-Aldegonde », guillotiné mort sur l'échafaud, 1ère victime de Joseph Le Bon, dans la même charrette que toute la famille Thellier de Poncheville, Un de ses enfants, Charles Antoine Le Conte, né le 9 décembre 1784, Maubeuge, Nord, décédé le 9 avril 1831, Valenciennes, Nord (46 ans), fut capitaine de cavalerie, chevalier de la Légion d'Honneur.   Une demande de béatification a été introduite au Vatican par l'Evêché d'Arras en 1931.

Robert Jourdain de Thieulloy, seigneur de Thieulloy-La-Ville, de La Bailly, de La Mothe en San...quessière, de Narvilier et de Gentel, écuyer (1744),  Marchand, Échevin d'Amiens, conseiller secrétaire du roi de la Grande Chancellerie de France (Maison, Couronne de France et ses Finances), le 20 décembre 1737, mort en charge.

robert.1.jourdain_de_thieulloy 

Son fils, Charles Louis Jourdain de Muizon,

seigneur de Muizon

Conseiller du roi, receveur général des rentes de l'hôtel de ville de Paris

Myriam Delahoux

Nom d'artiste de Myriam Broudehoux épouse de Philippe Delaoutre dont Alexandre et Benjamin.

Myriam Delaoutre, sculpteur

Sculptures Delahoux                                                                                                      Sculpture Delahoux 2

MON INSPIRATION


Ma sculpture, je l'aime légère et non statique. Je cherche le mouvement, les sentiments.

Je suis fascinée par le corps , le corps spirituel, le corps avec l'autre, le corps dans l'action. quels sentiments traversent le corps?

Les deux personnages forment un couple. Ils peuvent pivoter sur leur axe l'un par rapport à l'autre, ce qui fait une conversation entre les deux et change leurs sentiments.

Ils peuvent communiquer toutes sortes d'émotions et de messages.

L'espace qui se crée entre eux se modifie. Le spectateur peut les bouger lui-même. Il peut, par l'attitude qu'il leur donne, faire passer un message aux autres spectateurs. Par cela, il s'approprie la sculpture en devenant sculpteur d'espace et de sentiments.

Le mouvement de ces sculptures n'est pas dû à un mécanisme, mais c'est la main de l'être humain, avec ses sentiments, qui les tourne. Cette main donne la vie, sa vie, son message, son intuition, son regard, ce qu'il est, ce qu'il veut dire.

SALONS

2007 : Graver Maintenant, Rueil Malmaison

2006 : Invitée d'honneur du salon d'Ermon (Val d'Oise)

2006 : La Défense, Salon ARTPAGE

2004 : Invitée d'honneur du salon d'Elbeuf

2001 : Invitée d'honneur du salon du Vésinet

2001 : Invitée d'honneur du salon de Maurepas

1999,2000 : Le Vésinet, 2000 Prix de sculpture

1997,2000 : Versailles, Salon des salons d'art

1998 : Montesson, Prix du salon de sculpture

1996,1997,1998 : Saumur et tour de France des haras nationaux

1996 : Matière & Maniere, Paris Le Louvre

1993 : Artistes français, Paris

1990 à 1997 : Figuration Critique, Paris

1990 à 1994 : Contemporaines, Paris

1990,1991,2000,2002 : MAC 2000, Paris

1989,1991 : Biennale des Beaux-Arts, Paris

1988,1989,1992 : Ateliers d'Art, PAAS, 1992 Ob'Art

1985 à 2007 : Chatou

1984,1985 : Violet, Paris

MUSEES

Une pièce au musée de Pontarlier

Une pièce au musée Tessé au Mans

Une pièce au musée de la Briqueterie Baie de Saint Brieuc

EXPOSITIONS PERMANENTES

Marcq-en-Baroeul 59700, Galerie Septentrion, chemin des coulons, tél 03 20 46 35 80

FUTURES EXPOSITIONS

Sculpture en l’île à ANDRESY, 78, pour 4 mois, embarcadaire face à l’Hôtel de Ville. Installation en plein air de ses "Fantômes", exposition avec 30 autres artistes, du samedi 17 mai au dimanche 14 septembre 2008

Manège Royal, Place Royale, Saint Germain en Laye, avec les Ateliers Extraordinaires, 60 artistes, 5 oeuvres chacun, du 24 mai au 01 juin 2008

Chatou 78, Les Fantômes de l’atelier. En permanence à mon nouvel atelier, 20bis rue des Beaunes, depuis septembre 2007.

Chatou, 78, Portes ouvertes, avec les artistes de la ville de Chatou, samedi 27 et dimanche 28 septembre 2008 de 15h à 19h.

Chatou, 78, Salon des Beaux Arts, novembre 2008

EXPOSITIONS PERSONNELLES

2008 : Galerie Clac, Aurillac, Auvergne

2002 à 2007 : Ouverture de l’atelier fin sept, dernier week-end

2004 : Galerie Guillaume, Paris

2001 : Alice au pays des artistes, Paris

2001 : Golf du Sart, Villeneuve d'Asq - Nord

2000 : Galerie Visage de l’Art, Marly-le-Roi

1996 : Le Ressort de la créativité, Paris

1995 : Galerie 7, Nogent-le-Rotrou

1994 : Galerie Jean César, Paris

1993 : Aéroport d'Orly Ouest

1992 : Musée de Pontarlier, Doubs

1992 : Galerie Hexagone, Aix-la-Chapelle, Allemagne

1991 : Galerie Sylvie Bruley, Paris

1990 : Galerie Lhomme, Paris, Bastille

1990 : Galerie Vendôme Rive-gauche, Paris

1990 : Galerie Promediart, Aix-en-Provence

EXPOSITIONS DE GROUPES

2006 et 2007 : Mil Artl’s, Croissy-sur-Seine, (78)

2007 : Galerie Garance, St Germain en Laye, (78)

2006 : Terre Sauvage, Levallois, (92)

2006 : Musée de La Briqueterie, Baie de Saint Brieuc

2006 : Couleur de la Vie, Bailly, (78)

2005 : "Where I Fell In Love Gallery" "Shipston-On-Stour " Warwickshire, ANGLETERRE

2004 et 2008 : Sculptures en l’ile d'Andrésy, (78)

2004 : Salon de l’Estampe, Rueil-Malmaison

2004 : Les Fenêtres qui parlent, Lille

2000,2002,2004 : Manège royal, Saint Germain-en-Laye

2002 : Galerie Septentrion, Marq-en-Baroeul, Nord

2000 : Art Animalia, Chateau de Nogent-le-roi

1998 : Centre national de l’estampe, Chatou

1997 : Genre Féminin Pluriel, Roanne

1997 : Galerie La Commanderie, Saint-Emilion

1996 : Chateau de Brugny, Epernay

1995 : Musée Vera, Saint Germain-en-Laye

1995,1997 : Biennale internationale, La Ramée et Bruxelles

1995 à 2003 : Week Art, Le Mans

1994 : L’art dans l’Orne, Argentan

1996 : Rendez-vous du monde, Paris, Tour-Eiffel

1992 : Espace SEMA Pleyel, Paris

1990,1991 : Galerie A.J Buci, Paris

1989 : Galerie Excalibur, Annecy

1988 : Chateau de Maisons-Laffite

1986,1987 : Chapelle St Léonard, Croissy-sur-Seine

1978 : Galerie Héloff, Paris

RECOMPENSES

2000, Salon du Vésinet : Prix de sculpture

1999, Chatou : Prix du sénateur

1998, Montesson : Prix du salon de sculpture

1996, Chatou : Prix du conseiller général

1985, Salon Violet : Médaille de bronze de la ville de Paris

1984, Salon Violet : Mention


 Myriam Broudehoux est l’épouse de Philippe Delaoutre, dont Alexandre Delaoutre avec Julie Schwab, dont Salomé,Robinson, Augustin ; et Benjamin Delaoutre et Lise, parents de Romane.

Alexandre Delaoutre poursuit un brillant parcours musical ; l’actuel groupe Zaom77, composé de Valentina Vitale, Alexandre Delaoutre et Enris Qinami, offre une musique du monde et des anges, en formation vocale-électro-acoustique: Valentina Vitale chant, Alexandre Delaoutre (multi-instrumentiste), et Enris Qinami (joueur de guitare, sitar indien, et de çifteli, un petit luth à deux cordes originaire du Kosovo et du Nord de l?Albanie) ; ils interprètent, en langues originales et en chansons, des poèmes du monde entier.

Descendants de Jean François Broudehoux

Jusqu'à la 7e génération. Base Roglo

Jean François Broudehoux, né en 1678, décédé le 11 juillet 1740, Neuf-Mesnil (Nord) (à l'âge de 62 ans), censier de la Cense du Corbeau à Douzies.
Marié avec Marie Barbe Françoise Fayart, née en 1683, Maubeuge (Nord), décédée le 10 novembre 1747, Neuf-Mesnil (Nord) (à l'âge de 64 ans), dont

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