Quelques illustrations de la lignée des

Barrois

Barrois-Blason-Theodore

Guislain Barrois &
|
Guislain Barrois 1630-1681 &
Marie Deleplanque 1640-1703
|
Jean-François Barrois 1663-1731

Notaire,

Grand Bailli et Receveur du comté de Brias pendant 31 ans
Bourgeois d'Arras  &
Catherine Legrand
|
Dont deux branches :

Branche ainée : Jean-Baptiste François Barrois

Représentée par son petit fils François-Joseph 1759-1848 &1785 Marie Alexandrine Joseph Virnot 1765-1845

 

Les  Henri Barrois 1790-1870 &1820 Adélaïde Le Thierry 1802-1833

                                                             Quelques illustrations et alliances:

François-Joseph Barrois 1759-1848

Baptisé le 23 Mars 1759, fils de Jean-Baptiste et de Marguerite Lucet, filateur de coton, épousa le 25 Octobre 1785, Alexandrine-Joseph VIRNOT, baptisée paroisse Saint-Etienne le 14 Septembre 1765. Le texte de leur contrat de mariage est rapporte dans le Caducée et le Carquois. En 1790, François Barrois fit pour ses affaires un voyage en Italie au cours duquel il échangea avec son épouse, une délicieuse correspondance qui, publiée récemment, remit le couple en évidence. I1s habitaient originairement rue des Malades (de Paris) une maison avec grand' porte et quatre fenêtres à coté de leur petit magasin. Ils s'installèrent ensuite dans un très grand hôtel, 45, rue de Tournai. Les salons, situes au premier étage donnaient sur une terrasse et un escalier qui descendait a un vaste pare. « François Barrois avait des idées plut6t Voltairiennes ». Son buste se trouvait jadis chez M. Theodore Barrois-Demesmay. Les archives Départementales conservent un plan de cette propriété, dresse en 1820 par François Barrois (Quarre-Reybourbon p. 79). Le Chemin de fer du Nord l'expropria pour y établir sa gare, les propriétaires furent indemnisés par des titres qui les firent les plus gros actionnaires de la Compagnie après les Rothschild. Mais le chagrin qu’Alexandrine Virnot en ressentit ne fut pas sans hâter sa fin.  II jouissait en outre d'une très grosse fortune en terre du chef de sa femme. Mme DELESALLE-DUBUS. Etat des tableaux et objets d'art de sa propre  succession, Président de la Chambre et du Tribunal de Commerce, Conseiller Municipal en I807, adjoint en I8I8,puis Maire de Lille par ordonnance royale du 12 Août I830, Député du Nord en 1824 et en 1831,il fut l'un des principaux actionnaires-fondateurs du chemin de fer du Nord et des Mines de Lens ;Henry-Louis DUBLY : Le Caducée et le Carquois. Lille, édition du Mercure de Flandre, Monographie rédigée par Charles Le Thierry d’Ennequin en 1930.

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Henri Thomas Barrois 1790-1870

épouse, en première noces Adélaïde Le Thierry  (1802-1833), fille de Charles Le Thierry d’Ennequin, écuyer et de Catherine Charlotte Virnot puis Rosalie Félicie Virnot, fille de Pierre Urbain Virnot, membre de la Chambre de commerce de Lille et de Rosalie de Raismes dont Jules Alix Barrois.

 

Charles Eugène Barrois (1851-1939)

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Le fils de Jules-Alix, était Commandeur de la Légion d’honneur, de l’Ordre d’Isabelle la Catholique, officier de l’ordre de Léopold de Belgique, docteur Es Sciences, professeur à la Faculté des Sciences de Lille, docteur en Sorbonne, membre de l’Institut, membre de la Société royale de Londres, président de l’Académie des Sciences.

 

Jean-Marie Joseph Barrois (1884-1967),

Le fils de Charles-Eugène, fut chevalier de la Légion d’honneur, chevalier des palmes académiques, médaille des épidémies, docteur en médecine, médecin ; il épousa Germaine Julie Prouvost (1893-1987), fille de Paul Joseph et Louise Masurel et habitait l’ancien  hôtel de M et Mme Huot van den Straeten, 20, rue des Jardins à Lille.

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Leurs deux fils sont Charles Marie Barrois, Né en 1913, chevalier de la Légion d’honneur, docteur en droit, maire de Fontaines les Grès, et Jean Joseph Marie Barrois, docteur en médecine, électroradiologiste, attaché des hôpitaux de paris, ex moniteur de physique médicale de la faculté de médecine de Paris.

Dont Jean-Louis Barrois, notaire à Lille, dans l’étude Jean Louis BRIDOUX Jean-Louis, BARROIS Jean-Louis, LOOCK Nathalie, DANJOU Michaël, qui s’occupe de la famille Virnot depuis l’Ancien Régime ; un de ses ancêtres Virnot y eut une fonction d’associé.

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Marcel Pierre Marie Joseph Barrois ,

Fils d’Henri François Barrois 1863-1927 et de Marguerite Céline Adèle Decoster 1865-1953, petit fils Henri Joseph Barrois 1833-1872 et Julie Jeanne Virnot 1839-1908,

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Bertrand, dans la Résistance, diplômé HEC, licencié ès sciences, industriel, officier de réserve, chevalier de la Légion d'Honneur, croix de guerre 39-45, médaille de la Libération, chevalier de l'Ordre de Léopold de Belgique, président des Anciens Combattants de l'Allier, président du Centre d'Entraide des Prisonniers de Guerre au Ministère du Travail de Vichy, prisonnier de guerre en Allemagne à l'Oflag 3C, surnommé " Bertrand ", animait un réseau de Résistance (tendance Giraud), membre de l'Organisation de la Résistance de l'Armée, membre avec François Mitterrand du " Comité des Cinq ", il présenta François Mitterrand au maréchal de France Philippe Pétain, arrêté et dénoncé à la Gestapo, il est torturé et condamné à la déportation au camp de Dachau 45 ans. C'est lui le 3ème homme qui figure sur la célèbre photo de la rencontre entre François Mitterrand et Philippe Pétain. Le Mouvement National des Prisonniers de Guerre et Déportés (M.N.P.G.D.) est un Mouvement de la résistance française, lors de l'occupation de la France par les nazis en 1940-1944.François Mitterrand en est le chef, et la plupart de ses subordonnés sont des amis ou des proches de celui-ci, rencontrés pendant ses études à Paris, au stalag IX A, ou en 1942-1943. Le mouvement est divisé en deux aires géographiques, correspondant aux anciennes zones occupées et non occupées. Le nord est dirigé directement par François Mitterrand, le sud par Étienne Gagnaire. Jean Munier est responsable du service Action. Marcel Barrois est responsable des relations avec les maquis. Arrêté le 30 avril 1944, il meurt dans le train qui l'emmène à Buchenwald. Marcel Haedrich dirige le journal du mouvement, L'Homme libre. André Bettencourt s'occupe de l'antenne genevoise du mouvement, avec l'appui de Pierre de Bénouville, et Allen Dulles, chef de l'Office of Strategic Services pour l'Europe, qui participe au financement du MNPGD. « Il occupait un emploi à Vichy dans le service de reclassement des prisonniers libérés qui étaient peu nombreux mais dont le nombre allait être grossi des prisonniers évadés. Il était responsable de cet organisme avant novembre 1942 pour la région centre de la zone non-occupée, capitale Vichy.

Tout naturellement après novembre 1942 cet organisme se doubla d’un réseau clandestin destiné à soutenir les évadés et à les soustraire aux recherches de la police allemande et ses sbires français.

Il avait des activités très larges puisqu’il faisait parvenir aux prisonniers candidats à l’évasion, dissimulés dans des colis, des fausses pièces d’identité, copies falsifiées de pièces allemandes. Dissimuler un document dans un colis aux prisonniers était une pratique courante. Rappelons que le général Giraud avait reçu ainsi dans la forteresse de Königstein à titre de pièce d’identité, en vue de son évasion, un faux permis de conduire allemand au nom d’un homme d’affaire alsacien fictif. Puis ce réseau de résistance clandestin se développa et s’étendit à toute la France. « Ce 3 ème personnage s’appelait Marcel Barrois. Dans les semaines qui ont précédé la libération, M. Barrois devait rencontrer à Paris un membre du réseau. Malheureusement il ignorait qu’un autre membre du réseau avait été arrêté dans les jours précédents et la gestapo se présenta au rendez-vous. M. Barrois fit partie d’un des derniers trains de la mort à quitter la France et mourut pendant l’interminable transport en Wagon à bestiaux. Je tiens cette histoire d’un ami qui est le gendre de M. Barrois. Mais il paraît que son histoire est rapportée dans un livre écrit par M. Jean Thomas, déporté lui-aussi qui a recueilli dans le wagon les derniers souffles de ce résistant héroïque.  « Jusqu’à un doux petit ruisseau » de Jean Thomas. Imprimerie Lecerf. Édité avec l’appui du Conseil Général de Rouen (1995). Le doux petit ruisseau était la traduction française du lieu-dit en Allemagne où les wagons de ce train déversèrent leurs moribonds. (Vaihingen près de Karlsruhe ?). « Les mains jointes » de Rémy 1948

« Le train de la mort » de Bernadac » Il était le petit fils de Julie Jeanne Virnot et le cousin germain de Jean-Marie Joseph Barrois (1884-1967) époux de Germaine Prouvost.

Sa fille Monique Barrois, Lille,  religieuse de la Congrégation des Petites Soeurs des Pauvres ; son autre fille, Dorothée Barrois, 1927- 2011  mariée avec Jean Deruelle, vers 1925- 2001 polytechnicien, directeur aux Charbonnages de France, dont  Nathalie Deruelle, Creutzwald (Moselle), ENS, professeur à l'Ecole Polytechnique, directrice de l'Observatoire de Meudon. Enfin, Christine Barrois  mariée avec François Magerand, colonel.

Quelques autres illustrations et alliances:

Michel Barrois, né le 27 février 1895, Lille décédé le 3 janvier 1975, Lille (79 ans), ingénieur civil des Ponts & Chaussées,  marié le 24 septembre 1921, Valenciennes avec Geneviève Marie Antoinette Vasseur.

Françoise Barrois,  mariée en 1946, Mons-en-Baroeul  avec François Giard, né le 1er mars 1914, Saint-André-lez-Lille décédé le 30 mai 1995, Lille (81 ans), archiviste paléographe, libraire à Lille,

Geneviève Barrois, Lille religieuse des Dames de la Sagesse.

Janine Barrois, Lille,  mariée en 1962, Marcq-en-Baroeul avec Pierre Vassel, Amiens (Somme), directeur de la Compagnie Française de Radiologie.

Marcel  Barrois, né le 30 mai 1900, Lille exécuté le 2 mai 1944, dans le train pour Dachau, inhumé, Lille (43 ans), industriel, chevalier de la Légion d'Honneur, croix de guerre 39-45 avec avec Hélène Marie Joséphine Vasseur, née le 2 janvier 1904, Valenciennes décédée le 8 décembre 2000, Lons-le-Saunier (Jura), inhumée, Moulins (Allier) (96 ans), décoratrice,

Monique Barrois, née le 10 juillet 1926, Lille,  religieuse de la Congrégation des Petites Soeurs des Pauvres.

Dorothée Barrois, née le 2 août 1927, Lille décédée en février 2011 (83 ans),  mariée avec Jean Deruelle, né vers 1925, décédé en 2001 (peut-être 76 ans), polytechnicien, directeur aux Charbonnages de France.

Christine Barrois,  Lille,  mariée avec François Magerand, Fontainebleau, Seine-et-Marne, colonel.

Bruno Barrois, né le 6 mars 1936, Lille tué le 23 octobre 1966, Port-Harcourt (Nigéria), inhumé, Moulins (Allier) (30 ans), ingénieur des Arts & Manufactures.

Marie Paule Barrois, née le 21 mai 1890, Lille, décédée le 27 avril 1988, Lambersart (97 ans), mariée le 21 octobre 1911, Lambersart , avec Guy Fauchille, né le 20 juillet 1885, Lille décédé le 28 septembre 1971, Lambersart (86 ans), filateur de coton ; elle est l’auteur de mémoires sur sa famille : « Vos aïeux que j’ai connus ».

François Barrois, juge à la Cour d'Appel de Douai, marié avec Nicole Danjou,

Les Henri Barrois 1790-1870 &1840 Félicie Virnot 1817-1886

Edouard Félix Barrois, né le 20 août 1840, Lille, décédé le 13 juin 1891 (50 ans), marié   le 2 septembre 1868, Lille,  avec Louise Marie Valérie Sagnier, née le 6 octobre 1849, Toulon (83), décédée en 1932 (83 ans), dont

Édouard Antoine Barrois, né le 14 octobre 1869, Fives , décédé.

Quelques illustrations et alliances:

Jeanne Barrois, née le 26 mars 1871, Lille  - Fives, décédée, mariée le 29 janvier 1895, Lille, avec Auguste Asselin de Williencourt, né le 6 août 1863, Douai , décédé le 18 décembre 1937, Toulon (83, Var) (74 ans).

Lucie Marie Clothilde Barrois, née le 16 juin 1878, Lille,  décédée en 1959, Seine et Marne (81 ans), mariée le 19 août 1897, Lille,  avec Maurice Durosoy, né le 3 mars 1869, Grenoble, décédé en 1943, Berck sur Mer, Pas de Calais (74 ans), colonel de cavalerie, aide de camp du Maréchal Lyautey.

Durosoy

Maurice Durosoy « est un officier général français, né en 1898 et décédé en 1988, collaborateur de Lyautey au Maroc et combattant de la Libération.

Né dans une famille de militaires, d'hommes d'Eglise et de philosophes, Maurice Durosoy s'engage volontairement à dix­-sept ans dans l'Armée française, en 1915. Après l'armistice, il entre à Saint-Cyr, dans la promotion des Croix de Guerre.

A sa sortie de l'Ecole, il devient officier des Affaires indigènes au Maroc pui chef du bureau politique de la Résidence générale en 1924. C'est alors qu'il devient aide de camp puis chef de cabinet du maréchal Lyautey de 1924 à 1934, qu'il considèrera toute sa vie comme son mentor. Après la mort du Maréchal, il est envoyé en mission à Rio de Janeiro. Puis il rejoint l'Afrique du Nord avec le grade de commandant et fait la campagne de la Libération avec la 1ère Armée française du Rhin et du Danube.

En 1945, il prend la direction de l'Ecole de Saumur. Général de brigade en 1947, il devient directeur du cabinet du maréchal Juin, après quoi il est nommé attaché militaire à Londres et membre du comité militaire de l'O.T.A.N. Il termine sa carrière comme inspecteur général de la Défense intérieure et membre du Conseil supérieur des forces armées.

Il est général de corps d'armée quand il passe en deuxième section. Mais sa retraite n'est pas inactive : il préside le Comité des amitiés africaines et l'Académie des sciences d'outre-mer.

Vice-président de l'Association des écrivains de langue française, il publie notamment une Histoire de l'Ecole de Saumur et plusieurs études consacrées à Lyautey : Lyautey, mon général (1956), Avec Lyautey, homme de guerre, homme de paix (1976), et enfin un monumental Lyautey, maréchal de France : 1854-1934 (1984). » Wikipédia.

 

                 Les Théodore Barrois 1792-1851 &1822 Catherine Henriette Demesmay 1806-1872,

                                Fils de François-Joseph Barrois 1759-1848 et Marie Alexandrine Joseph Virnot 1765-1845

Barrois

Théodore Charles  Barrois

Barrois-Theodore

Né le 10 février 1857 à Lille, mort le 9 juin 1920 à Neuilly-sur-Seine. Il fut député du Nord de 1898 à 1906.
Avant de songer à la députation, Théodore Barrois fit une brillante carrière universitaire. Docteur en médecine et ès sciences naturelles, maître de conférences à la faculté de médecine et de Pharmacie de Lille, dès 1885, il fut reçu en 1886 à l'agrégation et nommé professeur de zoologie à la même faculté. Il devait occuper ce poste huit ans (d'octobre 1886 au 12 novembre 1894), jusqu'à ce que fût créée à son intention une chaire de parasitologie.
L'enseignement ne lui faisait pas oublier la recherche. De divers voyages accomplis comme naturaliste, en Laponie (avril-août 1881), en Palestine et en Syrie (mars-juin 1890), et d'un séjour à la station de zoologie maritime de Concarneau, il rapporta les éléments le plusieurs monographies. Ses travaux portèrent notamment sur les crustacés et les échinodermes, sur les lamellibranches (1885), sur les rotifères (1895), sur les insectes et la faune des eaux des Açores (1896), sur les ténias (1897).
Il avait 41 ans lorsque, délaissant la science pour la politique, il se présenta pour la première fois aux élections législatives. Sa carrière parlementaire fut assez effacée. Elu député de la première circonscription de Lille, le 8 mai 1898, par 9.127 voix sur 16.542 votants, au premier tour de scrutin, il appartint à diverses Commissions et à la Commission du travail. On lui confia la rédaction d'un certain nombre de rapports de validation. Il eut ainsi l'occasion d'intervenir, le 8 juillet 1898, pour défendre au nom du dixième bureau, la validation de M. Meunier, député de la première circonscription de Meaux, à qui un adversaire malheureux reprochait des distributions d'argent et de denrées alimentaires au cours de la campagne électorale. La Chambre adopta par 317 voix contre 206 les conclusions au rapporteur. Trois ans plus tard, au cours de la discussion d'un projet de loi concernant les taxes de remplacement des droits d'octroi de Roubaix, Théodore Barrois intervint de nouveau pour préciser dans quelles conditions le conseil municipal de Lille avait élaboré, un projet de réforme des octrois.
Réélu aux élections générales du 27 mai 1902, par 10.323 voix sur 17.314 votants au premier tour de scrutin, Théodore Barrois continua à participer aux travaux de la Commission du travail, mais ne prit pas la parole en séance publique. Sa discrétion à la Chambre peut s'expliquer par l'importance des jonctions administratives qu'il exerçait à l'Institut Pasteur lillois et au Comité central des houillères de France. fonctions qu'il conserva jusqu'à sa mort.

Quelques illustrations et alliances:

Olivier Barrois, ingénieur,  marié  avec Marie-Christine de Fleurian, La famille de Fleurian porte les armes suivantes : "de gueules à deux pals d'argent au chef également de gueules chargé de deux roses d'argent".Ils furent seigneurs de la Ligne. Son grand père fut  Paul de Fleurian , Officier d'infanterie, ESM promotion de La Tour d'Auvergne 1903-1905, Colonel d'infanterie, Chevalier de la Légion d'honneur Jacques Henrÿ d'Aulnois (Communication du docteur H.C.Mars 26 xii 09)., servit dans les chars de combats, qui dépendait à l'époque de l'infanterie.

Caroline Barrois, mariée  en 2004, en la cathédrale Saint-Lazare d'Autun (71, Saône-et-Loire), avec Adrien Vanbremeersch, Paris 14ème , analyste finance et stratégie.

Béatrix Barrois, fiancée avant le 1er mai 1960 avec Hubert Ruffier d'Épenoux, né le 20 juin 1931, Saumur , tué le 1er mai 1960, Redja (Constantinois, Algérie) (28 ans), lieutenant d'arme blindée (le mariage n'eut pas lieu suite au décès du fiancé en Algérie).  Puis mariée avec Jacques de Montgolfier, Saint-Marcel-lès-Annonay (07),

Dominique Barrois, colonel (e.r.),  marié en 1962, Trèves-Cunault (Maine-et-Loire), avec Agnès de Damas, Sousse (Tunisie), dont Ségolène Barrois  mariée avec Pascal Chatard,  Xavier Barrois, ENA (Nelson Mandela), administrateur civil.

Gustave Barrois, né le 10 août 1829, Fives décédé le 25 mars 1885, Lille (55 ans), filateur de coton,  marié   le 10 mai 1858, Lille avec Marie Henriette Charvet, née le 22 août 1838, Lille décédée le 27 février 1916, Dinard, Ille-et-Vilaine (77 ans), dont

Gustave Joseph Barrois, né le 26 mars 1860, Lille décédé le 15 août 1920, Marquillies (60 ans), filateur, fabricant sucre, agriculteur, maire de Marquillies, marié   le 8 décembre 1884, Marquillies avec Elise Brame, née le 1er mars 1865, décédée le 17 décembre 1925, Lille,  Nord (60 ans).

Fanny Barrois, née le 4 juillet 1913, Marquillies décédée le 24 juillet 2006, Grasse, inhumée le 28 juillet 2006, Bormes-les-Mimosas (Var) (93 ans), mariée le 8 janvier 1934, Wavrin avec Michel Détroyat, né le 28 octobre 1905, Paris, décédé le 5 octobre 1956, Neuilly-sur-Seine , inhumé, Saint-Pierre d’Irube, 64 (50 ans), aviateur, pilote d'essai, virtuose de voltige aérienne, champion de courses de vitesse,  mariée le 15 juin 1957, Bormes les Mimosas (83, Var), avec Hubert Schlienger, né le 11 août 1906, Grasse .

Jacqueline Barrois, née le 17 octobre 1914, Wizernes (62), mariée le 20 juin 1936 avec Antoine Sala, né le 8 octobre 1897, Bayonne, , amiral, de l'Académie de Marine.

Les François Alexandre Barrois 1801-1868 &1822 Clotilde Marie Virnot 1801-1868

Il est administrateur des hospices et du bureau de bienfaisance à Lille.

Dont Jean Baptiste Barrois, né le 28 janvier 1824, Lille,  décédé le 19 août 1872 (48 ans),  marié  le 12 novembre 1855, Bruges, avec Elisabeth Chalant, dont

Quelques illustrations et alliances:

Clémentine Barrois, née le 2 novembre 1856, décédée en 1879 (23 ans),  mariée le 20 juin 1874 avec Raymond Théry, né le 25 août 1848, notaire.

Cécile Alexandrine Barrois, née le 15 octobre 1825, Lille,  décédée le 23 mai 1883 (57 ans), mariée le 5 août 1851 avec Oscar Dubus, né en 1818, Orchies 59, décédé le 14 mai 1871, Lille (53 ans), bâtonnier de l'Ordre des Avocats.

 

Branche cadette Guislain Barrois

          Les Emile Barrois 1875 & Henriette Sion 1880-1966

Quelques illustrations et alliances:

Brigitte Barrois,  mariée avec Jacques Crépelle, né vers 1926, décédé le 14 février 2009, Marcq en Baroeul, inhumé le 19 février 2009, Marcq en Baroeul (peut-être 83 ans), chef d'entreprise,

Marie Thérèse Barrois, religieuse.

Marc-Antoine Barrois, Ingénieur textile, jeune et atypique, Marc-Antoine Barrois cherche à lancer un concept de Haute Couture masculine. Rencontre avant la présentation de sa deuxième collection à Paris, en janvier. Les puristes trouvent cela ridicule : de la Haute Couture pour homme ! Alors que l'appellation est réservée, - même pour la femme - à une poignée de grandes maisons parisiennes. Pour l'homme, on parle de "sur-mesure" ou de tailleur, mais Marc-Antoine Barrois et son "binôme", Olivier Boileau Descamps, revendiquent la notion de Haute Couture masculine. Simple argument marketing ou concept réellement novateur ? Nous sommes allés nous rendre compte de visu dans le showroom de la jeune marque de luxe.

                   Les Louis Barrois 1876-1963 & Marie-Louise Octavie Joseph Lepers 1880-1950

Demeures habitées par les Barrois et alliés, rue du Faubourg de Roubaix à Lille :

N °137 : démolie ; au 135 bis, demeure une belle maison bleu et blanc de style Louis XVI

N° 135 : Démolie ; reste un grand jardin

N ° 159 : remplacé par un HLM en brique

N° 152, face au 159 ; c’est un petit hôtel particulier de style Louis XV

N° 124 : bel hôtel particulier à l’angle du 2 bis, rue Mehl

N° 211 : non reconnaissable asauf les restes d’un grand jardin

N° 104 : grande maison Louis XVI, grise, grand mur, porche

N° 106 : petite maison étroite, pas belle.

 

Et à Roubaix :

Le 19, Grande Rue

29, Grande Rue,

16, rue Pellart

Estaires.

Marie-Paule Fauchille-Barrois en a raconté l’hisoire et la vie dans son touchant : « Vos aïeux que j’ai connus »

 

Légions d’honneur :

Barrois Charles Eugene, né le 21/04/1851 à Lille

Barrois Félix Antoine, né le 05/07/1830 à Cambrai

Barrois François Joseph, né le 22/03/1759 à Lille

Barrois Henri Joseph, né le 27/04/1863 à Burbure (Pas de Calais)

Barrois Henri Sylvestre, né le 26/03/1840 à Saint Omer

Barrois Jean Baptiste Joseph, né le 22/02/1784 à Lille

Barrois Jules Henri, né le 03/09/1852 à Lille

Barrois Paul Louis, né le 17/08/1873 à Lille

Barrois Theodore Charles, né le 10/02/1857 à Lille

Barrois Theodore Urbain, né le 12/05/1825 à Lille.

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