Quelques illustrations de la lignée des

Masquelier

Branche ainée : Emile Masquelier, né le 19 avril 1825, Lille, décédé le 29 mai 1899, Le Havre (Seine-Inférieure) (74 ans), négociant, assureur, banquier, actionnaires de diverses sociétés, marié le 18 octobre 1851, Lambersart , avec Emilie Kolb-Bernard, fille de Sophie Bernard, de l’ancienne famille de Lille,  et  Charles Kolb-Bernard, Député du Nord, sénateur inamovible (1875-88), En 1849, il fut élu à la chambre des députés (département du Nord), où il siégea très longtemps (1875). Le 12 décembre 1875, il fut nommé sénateur inamovible par l'Assemblée nationale. Il introduisit en chancellerie une demande qui lui fut accordée et qui l'autorisait lui et toute sa descendance à porter le nom de Kolb-Bernard. En 1875, il soutint Mgr Dupanloup et l'aida à conquérir la liberté de l'enseignement. Appelé par ses fonctions politiques à résider à Paris, il continua à s'intéresser aux œuvres du Nord. Sources: - personne: E.Polti (Généalogie Cordonnier + Anuaire des familles du NPdC + Parentèle de C. de Gaulle de Valynseele) ancienne saisie

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Emile Masquelier, le 28 juillet 1859, Saint-Adresse, décédé le 14 octobre 1922, Saint-Adresse (63 ans), lieutenant-colonel de cavalerie, marié le 17 février 1887, Paris, avec Jeanne Darcy, fille de Henry Darcy, Préfet, ancien membre du Coonseil d’état, fils d’un préfêt, et Adèle Hély d'Oissel 1843-1925, fille Antoine Pierre Hély d'Oissel, Conseiller à la cour de cassation, président de la Compagnie de Saint-Gobain de 1852 à 1865, fils de Abdon Patrocle Frédéric, baron Hély d'Oissel et de l'Empire (1er, 31 janvier 1810), né le 2 avril 1777, Rouen (76), baptisé, Saint-Patrice de Rouen, décédé le 29 janvier 1833, Paris (75) (55 ans), maître des requètes au Conseil d'Etat, conseiller à la cour de cassation et président de Saint-Gobain.

 Marguerite Masquelier, née le 23 février 1889, Paris, décédée le 18 janvier 1915, Ste Adresse (25 ans).
Mariée le 17 février 1912, Sèvres (92), avec René Altmayer, né le 7 février 1882, Versailles (78), décédé en 1976 (94 ans), d’une famille originaire de Sarrelouis (Allemagne), général d'armée commandant la Xè armée en 1940, ESM Saint-Cyr, promotion du Tchad., fils de Victor Altmayer,    Commandeur de la Légion d'honneur, Fils d'un agronome, membre de l'académie de Metz et maire de la ville de 1843 à 1847, Entre à Saint Cyr en 1863, Sous lieutenant en 1865 au 26e RI. Entre à l'école d'EM, Lieutenant d'EM. Effectue un stage au 7e Hussards. En janvier 1870 il est nommé au 35e RI qu'il rejoint en Italie 'protection des Etats pontificaux).. Durant le guerre de 1870, il est rappelé en France à l'EM de la 1ere DI du 13e CA (Vinoy), puis après Sedan, il est nommé officier d'ordonnance du général d'Exea. Le 2/12/70 au combat de Champigny, il recoit la LH pour avoir fait annuler un ordre de retraite qu'il portait à une brigade.. Participe au combat du Bourget.. Après la capitulation, il participe au siège contre la Commune et est blessé le 28/4/71 devant le fort d'Ivry. En 1872, il est nommé aide de camp du général Marnier Inspecteur général de la cavalerie en Algérie, puis en 1874, du général de Rochebouet, commandant le 18e CA. En mars 1878 il rejoint l'EMA, Chef de bataillon en 1880., il est nommé professeur à l'ESG, du cours du service d'Etat major, Nommé chef d'EM de la division d'occupation de Tunisie en 1886, il devient lieutenant colonel le 13/1/87, Colonel du 69e RI en 1890. De 1894 à 1895, il est chef d'EM du 9e CA, Général de brigade le 18/5/95 à la 46e brigade, Général de division le 8/3/01, il commande la 33e DI jusqu'en 1906, puis le 12e CA de 1907 à 1908. Il décède à son poste le 1/12/1908.ESM Saint-Cyr, promotion du Danemark.Sources:- personne: H.Tourret (Saint-Cyr) 2.9.08, C.Chéneaux (HC Mars oct 08),

 Geneviève Masquelier, née le 10 octobre 1891, Paris, 75, décédée, inhumée le 16 janvier 1972, Paris, 75 (peut-être 80 ans), mariée  le 13 octobre 1919, Sainte-Adresse, 76, avec Edouard Lefebvre de Laboulaye, né le 25 mai 1883, Paris, Administrateur de sociétés75, décédé le 25 janvier 1955, Paris, 75 (71 ans), administrateur de sociétés, Fils de René Lefebvre de Laboulaye, Avocat, Directeur de Caisse d'Epargne, Sous-chef de bureau au Ministère des fincances (1874), chef de cabinet de Léon Say (1876-1878), administrateur des Postes et Télégraphes, directeur de la Caisse d'épargne postale,

Officier de la Légion d'honneur.,  fils de Édouard Lefebvre de Laboulaye, Membre de l'Institut de France (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1856), membre d'honneur (1848) de l'Académie des Sciences, Belles Lettres, et Arts de Besançon, Sénateur inamovible, de 1875 (élection par l'Assemblée nationale) à sa mort.Il publie de remarquables études sur l'histoire du droit, est nommé à l'Académie des inscriptions et belles-lettres, et au Collège de France (1849). Plusieurs fois candidat libéral malheureux à la députation, il se rapproche du régime impérial au début de 1870. Représentant du peuple de 1871 à 1875, et sénateur conservateur inamovible de 1875 à 1883. (BdeRauglaudre, site de l'institut), Député de Paris, Instigateur en 1865 de la statue de la Liberté.

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Jean Masquelier, né le 7 mai 1909, Rouen, 76, marié le 30 avril 1935, Chaumont-d'Anjou (Maine-et-Loire), avec Jeanne de Grimaudet de Rochebouët, petite fille de Gaston de Grimaudet de Rochebouët,  Conseiller général, issus de l’ancienne famille de Grimaudet, seigneur de La Rochebouët et de La Croiserie.

Solange Masquelier, née le 19 octobre 1937, Sainte-Adresse (76, Seine-Maritime), décédée le 24 mai 2010, inhumée le 28 mai 2010, La Celle Saint-Cloud ( Notre-Dame de Beauregard) (72 ans), mariée  le 22 septembre 1961, Sainte-Adresse (76, Seine-Maritime), avec Henri-Noël Mayaud, " d'argent à un mai de sinople, soutenu d'un croissant d'azur et accosté de deux autres croissants de même". " crescrit in augmentum patriae" descendante de Paul Mayaud, Député du Maine-et-Loire.

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 Jacqueline Masquelier, née le 18 février 1940, Chaumont-d'Anjou (Maine-et-Loire), Mariée le 30 mars 1963, Sainte-Adresse (76), avec Laurent Thillaye du Boullay, X 1959 (Armement) ; un de ses ancêtres était Louis Thillaye, Conseiller du Roi, sieur du Boullay, achète le fief noble du Boullay et est anobli par charge de conseiller-secrétaire du Roi en 1763. Sources: R.-W. Farwerck (Les Thillaye du pays d'Auge, avril 1994) 2-8-2009.

Branche cadette : Auguste Masquelier 1829-1907

& Clémence Verley 1836-1863 surtout par son fils Georges 1860 & Marguerite Roland-Gosselin 1867-1948 dont Les Louis 1890-1976, Les Joseph 1893-1978, Les Antoine 1901

Pauline Masquelier, mariée  avec Henri Toussaint, avocat au Barreau de Dijon,

Géraldine Masquelier, comédienne.

Germaine Masquelier, née en 1895, décédée en 1983 (88 ans), mariée  en 1921 avec Henri Chauchat, Polytechnicien (X-1919 S), Directeur de la Société générale du magnésium, fils de Louis Chauchat, Colonel d'artillerie, X 1883, X-1883; Inventeur du Fusil Mitrailleur Chauchat C.S.R.G. Modèle 1915 L’armée française entre en guerre en 1914 avec les mitrailleuses Saint Etienne et Hotchkiss sur trépied. Trop lourdes, encombrantes, elles sont de plus servies par plusieurs hommes. A partir de fin 1915, l'usine des Cycles Gladiator au Pré Saint-Gervais fabrique ce F.M..Arme légère, de poids et d'encombrement limités, le "FM Chauchat" pouvait être mis en œuvre par un seul homme. Calibre 8m/m Lebel. Chargeur de 20 cartouches. Refroidissement à air. Cadence de tir théorique 240 coups minute De fabrication rustique, il fut souvent critiqué . Il s’échauffait rapidement et donc fonctionnait plus régulièrement en coup par coup ou par courtes rafales, enrayements fréquents, bipied instable, intrusion facile de boue. Par contre, avec beaucoup de méticulosité de la part des servants il fonctionnait correctement en le protégeant contre les intrusions de boue et au prix d'une grande attention dans le choix et le remplissage des chargeurs. Hélas, ce n’était pas le cas dans les tranchées!!! Sera surtout distribué à partir de la bataille de VERDUN Le fusil mitrailleurMle 1915 CSRG. Le sigle "CSRG" veut dire : Chauchat,Sutter, Ribeyrolles et Gladiator. Le colonel Louis Chauchat,polytechnicien, et le Controleur d’Armes Charles Sutter ont fait adopter cette arme a partir d’un prototype qu’ils avaient developpe en 1911 a l’Atelier de Construction de Puteaux (APX). Paul Ribeyrolles etait le directeur de l’usine des Cycles Gladiator,au Pre Saint Gervais, qui a fabrique le plus gros des commandes des armees francaises et americaines. Ces dernieres commandes sont intervenues en 1918. DescriptionLe FM Chauchat fonctionne par long recul du canon. Il est refroidi par air. La crosse, la poignée-pistolet et la poignée antérieure cylindrique sont en bois. Son chargeur est semi-circulaire (modèle français M1915) ou cintré (M1918 construit pour l’US Army). Il tire du 8mm Lebel ou du .30-06 US. Les armuriers militaires belges les convertirent en 7,65mm Mauser ; leurs homologues polonais et yougoslaves firent de même pour la cartouche de 7,92mm Mauser. ProductionLa production des 262 000 Chauchat M1915 et 18000 M1918 dura de 1915 à 1927 et concerna 1es usines des Cycles Gladiator et Sidarme. DiffusionOutre l’armée française, le CSRG fut utilisé par les soldats belges (6900 armes), grecs (3900), polonais (chiffre inconnu), russes, et serbes. Durant la Grande Guerre, le Corps expéditionnaire américain en France reçut 39000 M1915 et 18000 M1918. Les Allemands l’utilisèrent aussi lorsqu’ils en capturaient. Durant la seconde Guerre mondiale, il fut à nouveau utilisé par la France, la Finlande et la Wehrmacht (stocks français polonais, grecs, yougoslaves ou belges). Données numériques CSRG 1915* Munition : 8 mm Lebel * Longueur : 1,14 m * canon : 47 cm * Masse : 8,7 kg * Chargeur : 20 cartouches * Cadence de tir théorique : 250 coups/min ; Sources:
- personne: R.Driant (P-Y.Leclerc + HC.Mars)

Antoine Masquelier, né le 8 février 1901, Lille, négociant en cotons à Mulhouse, marié le 14 avril 1928, Mulhouse, avec Yvonne Mieg,

Blason-mieg

Famille Müye, Mueg, Müge, puis Mieg, sauf en France ou le nom s'orthographia "Mique", La vieille famille patricienne de Strasbourg était originaire du Sundgau et de Bâle où on la retrouve dès le début du XIII° siècle, dans les villages de Muespach, Obermichelbach et Knöringen, puis bourgeois de Bâle. Au début du XIV° siècle on les voits'établir à Strasbourg où ils sont bâteliers et en relations d'affaires avec Bâle, , fille de Charles Mieg,Manufacturier à Bâle, Industriel à Mulhouse, Maison Ch. Mieg & Cie, fils de Jean Mieg, Manufacturier ; maire de Mulhouse (1872-1887) ; membre du Conseil général de la Haute-Alsace et de la délégation d'Alsace-Lorraine, Associé de la maison Charles Mieg & Cie fondée par son père, Membre de la délégation d'Alsace-Lorraine de1881 à 1901
Président du Conseil général du Haut-Rhin, Vice-président de la Chambre de Commerce de Mulhouse, descendant de Mathieu Mieg, le Chroniqueur,

Il publia en 1816-1817 un ouvrage qui lui valut le surnom de Chroniqueur : Der Stadt Mülhausen Geschichten. On lui doit également Tagebuch einer Reise nach Italien im Jahre 1794 (1802) et Relation historique des progrès de l'industrie commerciale de Mulhouse et de ses environs (1823).

Il fut le plus célèbre occupant de la fameuse "maison Mieg", propriété de la famille Mieg de 1679 à 1840, qu'on admire aujourd'hui sur la bien mal nommée "place de la Réunion", en souvenir d'un événement auquel Mathieu Mieg s'opposa farouchement.

Chevalier de la Légion d'honneur., P.Deries (notes d'après la généalogie Mieg de 1934, , Commerçant drapier, historien, peintre et dignitaire de Mulhouse, Après quatre années d'apprentissage, à Morges pour y apprendre la langue française, puis à Mulhouse dans la maison de commerce de son père, Mathieu Mieg décida de se vouer à la carrière commerciale. Il passa un an à Versailles, d'où il devait garder un attachement indéfectible à la cause des Bourbon, puis entreprit une grande tournée à travers l'Allemagne et la Hollande, avant d'être rappelé à Mulhouse par la mort de son frère Jean, auquel il succéda à la tête de la maison de commerce paternelle, âgé de vingt ans seulement.

La maison Mathieu Mieg & Fils s'occupait alors principalement d'écouler à l'étranger la production des tissus de laine de Mulhouse, notamment lors de foires de Berne et de Zurzach, près de Baden. Il devait visiter cette dernière foire pas moins de cinquante fois durant sa longue existence. Au cours de l'hiver 1780, il entreprit un premier voyage en Italie, qui lui permit d'ouvrir de nouveaux débouchés à l'industrie drapière de Mulhouse.

Durant la période révolutionnaire, il lutta de toutes ses forces pour conserver à sa ville natale son indépendance menacée. Il prononça dans ce but plusieurs discours devant le Conseil, et s'acquitta avec succès, au printemps de 1794, d'une ambassade à Paris au nom des drapiers de Mulhouse.

Mathieu Mieg s'était fait recevoir, le 23 février 1777, à la tribu des Agriculteurs. Il fut nommé échevin en 1780, triumvir en 1781, sexvir en 1786, enfin zunftmestre en 1796, à la mort de son père. En 1798, il ne put éviter le sacrifice de l'indépendance de sa ville natale. Il fut l'un des quinze citoyens qui votèrent contre le traité de réunion, et il s'opposa, comme maître de sa corporation, à la destruction de l'ancien étendard des Agriculteurs, destiné à être enfoui au pied de l'arbre de la Liberté.

Malgré ses multiples occupations, Mathieu Mieg avait su donner à ses affaires une vigoureuse impulsion. Il installa en 1809, avec le concours de son fils aîné Mathieu, un tissage de draps à bras, qui fut complété en 1817par une filature mécanique. Plus tard, il associa à ses affaires ses fils Jean-Georges et Jean.

Décoré par Louis XVIII de l'ordre du Lys, il reçut du roi Charles X, lors de son passage à Mulhouse en 1828, la croix de chevalier de la Légion d'honneur. Grand amateur de tir, il occupa pendant de longues années la présidence des Sociétés de tir à l'arbalète et au mousquet. Il était également capitaine de la milice bourgeoise de Mulhouse. Il fut également, de 1820 à 1830, président du Bureau de bienfaisance de Mulhouse.

 

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Monique Masquelier, née le 28 février 1929, Mulhouse (Haut-Rhin), décédée en 1972 (43 ans).
Mariée le 30 septembre 1950, Mulhouse (Haut-Rhin), avec
Edouard Descamps, né le 24 novembre 1927, Lille, industriel du lin à Lille, directeur à la Société Descamps l'Aîné, administrateur de la Société Bénédictine, fils de Jacques Descamps, Industriel, filateur de lin et tisseur de toiles à Lille; administrateur des Ets "Descamps l'Aîné", des Ets "Badin&Fils", du Crédit du Nord, de la Société Bénédictine, d'Avenir Publicité et de D.M.C et Jeannine Segard, fils d’Édouard Descamps, Filateur de lin à Lille; associé de la maison "Descamps l'Aîné"; administrateur du Crédit du Nord; maire de La Madeleine, Chevalier de la Légion d’honneur

Marie Masquelier, née le 14 novembre 1863, Marcq-en-Baroeul , décédée le 20 janvier 1950, Paris (86 ans).
Mariée le 9 juin 1885, Lille, avec Jean Bernard, né le 1er avril 1860, Lille, décédé le 28 avril 1924, Lille  (64 ans), industriel raffineur de sucre, vice-président de l'Université Catholique de Lille, cofondateur de l'ICAM, président de l'Oeuvre de Notre-Dame de La Treille (sans postérité).

Nous pensons que se rattache : André Masquelier, décédé.
Marié avec Cécile Virnot, fille de
Urbain Virnot 1897-1968 et Marie-Antoinette Piat 1903-1971, dont Isabelle Masquelier, née en 1965. Valérie Masquelier, née en 1970.

Descendants de Jean-Baptiste Emile Masquelier

Jusqu'aux arrière-petits-enfants. Base Roglo

Jean-Baptiste Emile Masquelier, né en février 1803, Haubourdin (Nord), décédé le 11 avril 1867, St Maur (36) (à l'âge de 64 ans).
Marié le 8 mars 1824, Valenciennes (Nord), avec Pauline Cailliau, née le 14 juillet 1798, Valenciennes (Nord), décédée le 17 janvier 1868, Lille (Nord) (à l'âge de 69 ans), dont

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