Broudehoux

On dit que les Broudehoux portaient sur le châpeau le brin de houx qui les distinguait ; telle fut l’origine des Plantagénet d’illustre mémoire.

Jean François Broudehoux 1678-1740

Censier de la Cense du Corbeau à Douzies&

Marie Barbe Françoise Fayart 1683-1747

|

Jean Baptiste Broudehoux 1705-1789

Censier de la Cense du Corbeau à Douzies, échevin de Rousies&1747

Marie Antoinette Renaud 1716-1786

|

Amand Joseph Marie Broudehoux 1748

Propriétaire, censier à Douzies et Neuf Mesnil&1788

Angélique Josèphe Nathalie Paray 1769

|

Xavier Joseph Broudehoux 1792-1875 &

Marie Bonnet 1811-1881 dont Paul, Céline (rue Blanche à Saint Maurice de Lille) et Alphonse

|

Alphonse Broudehoux 1835, 1903 ou 04,  élève à Paris de l’Ecole Centrale à l’hôtel de Juigné, rue de Thorigny, ingénieur, constructeur, épouse Maria Peterbroeck, très belle (portrait sous le second Empire), née en 1840, dont  Marie, Marguerite, Eugène +1964, Adrienne décédée à deux ans et demi ; les parents eurent une autre fille qu’ils nommèrent Adrienne. Ils ; jouaient dans leur demeure de la rue Saint Amand à Valencienne du piano, Alphonse chantait; eurent jusqu’à quatre chiens se promenaient dès 1899 en bicyclettes. Les sœurs firent leurs études chez les sœurs de la sagesse à Valencienne. Sortaient dans la bonne société de la ville : les Mabille de poncheville, les Théllier, les Vienne, les Piérard, Delgrange etc. où les Boudehoux étaient aimés pour leur » gentillesse, leur distinction naturelle et leur bonne éducation ; les bals se terminaient toujours par le « Quadrille des lanciers ».Fin du XIX°, Alphonse fit un voyage en Egypte pour ses affaires.

Marguerite Broudehoux épousa Raymond Langlais, fou d’équitation, lieutenat de cavalerie de réserve comme son beau-frère Jean, se bat dans les tranchées de verdun, est muté dans un Etat-Major, le quitent pour l’aviation et s’écrase en juillet 1917 au dessus de la villa familiale d’Enghien sous les yeux de sa mère et de sa femme qui fit suivre ce grand amour par plus de 50 ans de veuvage.

Hippolyte Joseph Vincent Broudehoux, né 1750, Neuf Mesnil, Nord, décédé l 1824, Maubeuge, (74 ans), prêtre, vicaire de Sepmeries et de Liessies (filleul: Agapit Joseph Broudehoux 1761-1815) (filleule: Hippolyte Marie Josèphe Le Conte 1784).

 Angélique Françoise Lucile Broudehoux, née 1752, Neuf Mesnil, Nord, décédée le 1834, Valenciennes, Nord (82 ans) (marraine: Marie Agnès Angélique de Harveng) (filleule: Marie Antoine Agathe Broudehoux 1759-1759).
Mariée 1783 avec Charles Louis Le Conte de Canteraine, né 1731, Maubeuge, Nord, exécuté le 7 juin 1794, Cambrai, Nord, inhumé, guillotiné sur l'échafaud (62 ans), architecte, garde général des Forêts du Noble Chapitre des Chanoinesses de Sainte-Aldegonde, de l'Abbaye bénédictine d'Hautmont, & du Prieuré d'Aymeries, capitaine des Hussards Noirs (parrain et marraine: Charles Louis Bourez Aldegonde Meurisse),

Hippolyte Marie Josèphe Le Conte, née le 12 janvier 1784, Maubeuge, Nord (parrain et marraine: Hippolyte Joseph Vincent Broudehoux 1750-1824 Marie Philippine Febvrier) (filleul: César Martial Broudehoux 1790).
Mariée le 31 janvier 1809, Maubeuge, Nord, avec Jean Antoine François Grossot, né le 31 mai 1780, Vesoul, Haute Saône, décédé le 1er mai 1819, Valenciennes  (38 ans), percepteur des contributions à Valenciennes.

Jean Philippe de Harveng, Censier de la cense du Corbeau, Né  1728 - Mairieux, Nord, Décédé 1785 - Neuf Mesnil, Nord, 56 ans, fils de Pierre Joseph de Harveng, seigneur d'Arbançon et Marie Gabrielle Françoise de La Croix, Marié le 13 octobre 1750, Neuf Mesnil, Nord, avec Marie Agnès Broudehoux, dont Marie Agnès Angélique

Louis Jean Scrépel est l’arrière grand-père de Suzanne Boisse-Scrépel, Madame Eugène Broudehoux : son souvenir fut marquant ; elle était une cantatrice et une harpiste de talent mais elle ne put, conformément à son milieu, en faire une profession. Elle est considérée comme l’inspiratrice des dons de son arrière-petite fille Gaëtane Prouvost, violoniste soliste qui se souvenait, émue, à la « Méditaion de Thaïs » jouée par son arrière grand-mère dans son appartement du superbe 97, boulevard Malesherbes qu’elle fréquentait assidument de par sa proximité du Conservatoire de musique de Paris de la rue de Madrid. Dans cet appartement aux œuvres d’art  conformes aux gouts de la fin du XIX°, Suzanne et Eugène Boudehoux y vécurent l’accomplissement de leur âge mur et de bonheur familial exceptionnel, largement ouvert à la famille et aux amis ; l’été c’était le Touquet ou Biarritz. : ils ne se quittaient pas, respiraient le bonheur d’être à deux : une entente quasi sans nuages qui avait duré pas très loin de 50 ans. « On peut dire que dans la famille Broudehoux, Suzanne Boisse, Adrienne Broudehoux et Suzanne Lavallée ont été, chacune, la femme d’un grand amour : c’est merveilleux, très triste, très joyeux aussi : la vie, en somme. »

Suzanne-Boisse-Screpel

97-boulevard-Malesherbes-Suzanne-Broudehoux-Boisee  14-rue-Vezelay-Paris-Suzanne-Broudehoux-Boisse

Le 97, Malesherbes et l’autre coté, 14, rue de Vézelay

Elle est l’enfant unique de Jules Boisse (1861-1938) et Marguerite Scrépel, fille de Paul Scrépel et Mathilde Masurel ici représentés chez eux dans sa jeunesse.

Boisse Screpel

Gaetane-Francescatticonservatoire-Paris

Gaëtane Prouvost, son arrière petite fille et son maître Zino Francescatti ; le Conservatoire de la rue de Madrid

Premier prix de violon et de musique de chambre du Conservatoire de Paris, Gaëtane Prouvost a poursuivi sa formation à la Juilliard School de New York auprès d’Ivan Galamian comme nombre des virtuoses contemporains. Mais son véritable maître sera Zino Francescatti, l’un des grands violonistes du siècle et unique héritier de la technique de Paganini. Elle lui a consacré une biographie1 et enregistré un disque de ses compositions originales et transcriptions.

Gaëtane Prouvost est avant tout une concertiste. Son jeu se prête aussi bien à la légèreté du répertoire baroque, qu'à la gravité mozartienne. Il excelle dans les grands romantiques et restitue aux contemporains qualité émotionnelle et musicalité.

Dédicataire de plusieurs œuvres, elle est fréquemment invitée par l'Ensemble intercontemporain où elle joue sous la direction de Kent Nagano, Gary Bertini et Pierre Boulez. Choisie par Olivier Messiaen, elle est l'interprète du Quatuor pour la Fin du Temps lors de sa création en U.R.S.S.

Gaëtane Prouvost est également une chambriste qui se plaît à faire chanter son violon à l'écoute des autres: Noël Lee, Laurent Cabasso, Emmanuel Strosser, Jean-Paul Sevilla, Anne Queffélec, Roland Pidoux, Bruno Canino, Yvan Chiffoleau, Jean-Philippe Collard, etc.

Diplômée de l'Institut Supérieur de Pédagogie, elle partage actuellement ses activités entre une carrière de soliste et l'enseignement au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris comme dans diverses académies en France et à l'étranger. Certains de ses élèves sont dès aujourd'hui lauréats des grands concours internationaux.

Auprès de Marie-Christine Barrault, Gaëtane Prouvost a monté un spectacle Littérature et Musique intitulé "Vol de nuit", basé sur des textes d’Antoine de Saint-Exupéry.

Les deux sonates de Prokofiev pour violon et piano que Gaëtane Prouvost a enregistrées chez Forlane avec Abdel Rahman El Bacha, ont suscité l'enthousiasme de la presse (Disque Choc du Monde de la Musique).

L'œuvre pour violon et piano de Gabriel Pierné a été enregistrée avec Laurent Cabasso pour le label Integral Musique (octobre 2006).

En 2008, elle enregistre l'oeuvre pour violon et piano de la compositrice française Louise Farrenc pour le label Integral Classique.

Le frère de Gaëtane, Thierry Prouvost travailla un grand nombre d’années dans l’immobilier au 31, rue de Monceau et boulevard Haussmann.

L’arrière petit fils de Suzanne Broudehoux, Loïc Besnard et son épouse Chloë Fréreau, architecte, habitent en famille une charmante maison à colombages au 103, boulevard Malesherbes.

Le beau frère de Suzanne Broudehoux-Boisse, Jean Broudehoux  fit l’école de cavalerie de Saumur sans faire Saint Cyr ; il était un merveilleux cavalier ; en poste à Compiègne, lieutenant au 5°dragon, il fit la connaissance de Suzanne Lavallée, fille unique, riche héritière; ils se marient en 1911 ; invités parce ce que riches et beaux, ils sont la coqueluche de la ville : raouts, chasses à cour, bals ; Jean fit partie de l’équipe de France de concours , ayant les moyens de s’offrir des chevaux à la mesure de son talent, il est recordman du monde de saut ; hélas, il décéda d’un accident de cheval  laissant sa veuve désespérée ; elle finit, le 3 juin 1922,  épousa Jacques Gaston Ménier, né le 22 janvier 1892 à Paris, décédé le 8 mai 1953 à Bussy Saint Martin (77), le riche héritier des chocolats Ménier, maire de Noisiel, 1934, aviateur gravement blessé aux commandes de  son avion de l'escadrille Nieuport le 19.08.1917, tombé dans les lignes Allemandes ; il restera défiguré.

 AMBASSADE_PORTUGAL-hotel-Menier-

Ils habitaient l’hôtel Menier à l’angle de la rue Emile Menier, actuelle Ambassade du Portugal. Van Dongen fit le portrait de Suzanne ; on achète une ile pour l’élevage des renards argentés, Anticosti dans la baie du Saint Laurent ; leur résidence secondaire fut le château de Chenonceau.Ils n’eurent pas de postérité.

 Menier-Monceau

L’hôtel Ménier sur le parc Monceau à Paris

Menier-Chenonceau

Chenonceau

 

JACQUES MENIER AVIATEUR DE GUERRE

 

soldat de la classe 1912, Jacques Menier fut incorporé en octobre de la même année à la 1er compagnie, 1er groupe des aérostiers du 1er régiment de génie à Saint-Cyr, où il resta jusqu'au courant de 1914.

A cette date il fut affecté au parc aéronautique n° 8 Bréguet, Michelin. Le 2 avril 1916 il entrait à l'école de pilotage de Tours et obtenait le 25 avril, au titre militaire, le brevet de pilote n° 4031. Le 3 août 1916 il était dirigé sur l'école de moniteurs d'Arvord et, le 7 septembre de la même année, il obtenait le brevet de pilote par la fédération aéronautique internationale portant le n° 4255. Le 4 novembre 1916 il entrait à l'école de chasse de Pau. Le 2 février il était affecté à l'escadrille Nieuport 84-G-C-13. Le 19 août 1917 il était blessé en combat aérien et fait prisonnier.

La patrouille partait en mission photographique. Dans cette opération Jacques Menier remplaçait son camarade Wertheimer immobilisé au moment du départ.

Le matin même, au cours d'une reconnaissance l'appareil de Jacques Menier avait subi des dégâts réparés en toute hâte.

C'est dans ces conditions qu'il décolle, son appareil grimpant un peu moins vite que celui de son chef, le lieutenant de Bonnefoy.

Première escarmouche vers 18 heures 30 avec un appareil allemand, Jacques Menier n'hésita pas à piquer dessus et à le poursuivre. Ce faisant, il fut entraîné plus avant dans le secteur de l'adversaire sans réussir à descendre l'avion.

Cette digression l'avait éloigné de la patrouille, c'est pourquoi, il prit de la hauteur pour rejoindre ses camarades sur les lignes.

Il planait à 3.800 mètres et se rapprochait des lignes françaises, lorsqu'il aperçut une patrouille allemande de six appareils rentrant chez elle.

Il attaqua l'un des trois avions du dernier groupe. Aussitôt les six se mirent à le harceler deux par deux de chaque coté. Le combat se déroulait à une cadence très rapide. Au bout de quelques minutes l'un des assaillants pu se placer sous la queue de l'appareil français.

L'allemand lâcha une salve de quelques balles qui touchèrent leur but. Un projectile, après avoir percé le calot de fourrure de Jacques Menier glissa entre la peau et le crâne du côté gauche arrière de la tête. Un deuxième se logea dans le réservoir d'essence de l'appareil qui prit feu instantanément.

Jacques Menier continua sa course vers la terre laissant son appareil l'entraîner et préparant de son mieux le contact avec le sol.

Il brisa son pare-brise, il troua la carlingue avec ses pieds, afin de créer un appel d'air à l'intérieur et de rabattre ainsi les flammes qui lui brûlaient la tête.

Dès qu'il aperçu les arbres, il redressa son appareil et piqua dans une clairière, ou, du moins, ce qu'il pensait être une clairière.

Il atterrit à peu près normalement, déboucla sa ceinture et sauta hors de l'appareil.

Immédiatement il fut fait prisonnier par le commandant de la batterie d'artillerie allemande positionnée à quelques mètres de l'événement.

Le 19 août 1917 18h20

Départ pour une mission photographique du terrain de Sénart près de Verdun.

Le 19 août 1917 18h50

Atterrissage de fortune à 4 Kilomètres à l'est de Damvillers

Du 20 août au 2 octobre 1917

Séjour au théâtre lazaret hôpital allemand à Montmédy.

Du 4 octobre au 15 octobre 1917

Séjour à l'hôpital des prisonniers à Trèves.

Du 16 octobre au 5 novembre 1917

Séjour au lazaret de Saarbrucken.

Du 5 novembre au 21 novembre 1917

Séjour au lazaret du camp de Bernau.

Du 21 novembre 1917 au 21 juillet 1918

Séjour au lazaret de Furtenfeldbruck Puchheim.

Le 24 août 1918

Séjour à l'hôpital Munsterlingen en Suisse.

Le 6 septembre 1918

Séjour dans la région d'internement de Montreux en Suisse.

Le 20 septembre 1918

Rapatriement et Mise en position de congé de convalescence.

Le 21 février 1919

Démobilisation.

 

Mr Jacques Menier a été grièvement blessé par balle et par brûlures au visage. Il a obtenu la croix de guerre avec deux citations, une à l'ordre de la 11 ème armée en novembre 1917, la deuxième à l'ordre des armées du Nord et du Nord-Est en octobre 1918. La médaille militaire en février 1919 ainsi que la croix de guerre avec palme. Enfin en vertu du décret du 1er janvier 1927 M. Jacques Menier fut fait chevalier de la Légion d'honneur par le gouvernement de la République.

Le 11 Février prise d'armes aux Invalides. Remise de la Croix de la Légion d'Honneur par

le Général Gouraud

Émile Menier fut le commanditaire de l'hôtel du 5 avenue Van Dyck, oeuvre de l'architecte Henri Parent et du sculpteur-décorateur Jules Dalou, construit entre 1870 et 1872. Ce célèbre hôtel parisien donnant sur le parc Monceau inspira Émile Zola dans la Curée et Philippe Hériat dans la famille Boussardel.

Emile_Justin_Menier_Portrait

Photographie : l'hôtel du 8 rue Alfred de Vigny.

L'hôtel du 8 rue Alfred de Vigny de style néogothique tardif, commandité par son fils aîné Henri Menier en 1880 et qui abrite aujourd'hui le Conservatoire International de Musique, est aussi d'Henri Parent à qui on doit encore la tombe d'Émile Menier au cimetière du Père Lachaise.

Le nom de l'architecte Eugène Ricard est également attaché à celui des Menier. Il réalisa à Paris le siège social de l'entreprise familiale rue de Chateaudun (1882-83), les grandes écuries du château de Noisiel (1890) et la villa Camille-Amélie avenue du Maréchal Juin à Cannes (1890) pour la veuve d'Émile Menier.

Villa Camille-Amélie - de Eugène Ricard - Avenue Maréchal Juin

19

Edifiée en 1888 pour la mère de Gaston Menier sur un terrain escarpé proche du château Scott. C'est une grande villa éclectique aux accents classiques et italianisants. Trois niveaux se dressent sur une terrasse qui abrite des pièces habitables. Corps central encadré d'une aile et d'une rotonde à l'ouest, d'une autre rotonde à l'est ; porche d'entrée au nord. Baies de formes diverses, colonnes corinthiennes, balustrades et chaînages à bossages. Un quatrième niveau moderne a été ajouté.

Photographie : l'hôtel du 4 avenue de Ruysdael.

Dans le quartier du Parc Monceau, citons encore deux autres hôtels achetés par Gaston Menier, le benjamin :
l'hôtel Camondo au 61 rue Monceau,

Musée Nissim de Camondo - exterior.jpg
et l'hôtel du 4 avenue de Ruysdaël qui abrite aujourd'hui le Conseil National de l'Ordre des Pharmaciens.

Hippolyte Joseph Vincent Broudehoux, né le 23 janvier 1750, Neuf Mesnil, Nord, décédé le 28 octobre 1824, Maubeuge, Nord (74 ans), prêtre, vicaire de Sepmeries et de Liessies (filleul: Agapit Joseph Broudehoux 1761-1815) (filleule: Hippolyte Marie Josèphe Le Conte 1784).

Angélique Françoise Lucile Broudehoux, née le 3 janvier 1752, Neuf Mesnil, Nord, décédée le 8 mai 1834, Valenciennes, Nord (82 ans) (marraine: Marie Agnès Angélique de Harveng) (filleule: Marie Antoine Agathe Broudehoux 1759-1759). emprisonnée à Soissons avec ses enfants sous la Terreur, elle n'échappa à l'échafaud que parce qu'elle était enceinte (ses cheveux blanchirent en une nuit), elle perdit son bébé en prison à Soissons. Libérée à Thermidor, très pieuse, fervente royaliste, très éprouvée par ces évènements, elle finit sa vie à Valenciennes, à demi ruinée.Mariée le 6 février 1783 avec Charles Louis Le Conte de Canteraine, né le 3 septembre 1731, Maubeuge, Nord, exécuté le 7 juin 1794, Cambrai, Nord, inhumé, guillotiné sur l'échafaud (62 ans),    architecte et garde général des forêts du Noble Chapitre des Chanoinesses de Sainte-Aldegonde à Maubeuge, de l'Abbaye bénédictine Saint Pierre & Saint Paul d'Hautmont, et du Prieuré d'Aymeries, capitaine au 10ème Régiment de Hussards Noirs, arrêté sur dénonciation (mars 1794), emprisonné à Bapaume puis à Cambrai, tous ses biens furent confisqués, condamné à mort (19 juin 1794) « pour avoir protégé les Chanoinesses de Sainte-Aldegonde », guillotiné mort sur l'échafaud, 1ère victime de Joseph Le Bon, dans la même charrette que toute la famille Thellier de Poncheville, Un de ses enfants, Charles Antoine Le Conte, né le 9 décembre 1784, Maubeuge, Nord, décédé le 9 avril 1831, Valenciennes, Nord (46 ans), fut capitaine de cavalerie, chevalier de la Légion d'Honneur.   Une demande de béatification a été introduite au Vatican par l'Evêché d'Arras en 1931.

Robert Jourdain de Thieulloy, seigneur de Thieulloy-La-Ville, de La Bailly, de La Mothe en San...quessière, de Narvilier et de Gentel, écuyer (1744),  Marchand, Échevin d'Amiens, conseiller secrétaire du roi de la Grande Chancellerie de France (Maison, Couronne de France et ses Finances), le 20 décembre 1737, mort en charge.

robert.1.jourdain_de_thieulloy 

Son fils, Charles Louis Jourdain de Muizon,

seigneur de Muizon

Conseiller du roi, receveur général des rentes de l'hôtel de ville de Paris

Myriam Delahoux

Myriam Delaoutre, sculpteur

Sculptures Delahoux                                                                                                      Sculpture Delahoux 2

MON INSPIRATION


Ma sculpture, je l'aime légère et non statique. Je cherche le mouvement, les sentiments.

Je suis fascinée par le corps , le corps spirituel, le corps avec l'autre, le corps dans l'action. quels sentiments traversent le corps?

Les deux personnages forment un couple. Ils peuvent pivoter sur leur axe l'un par rapport à l'autre, ce qui fait une conversation entre les deux et change leurs sentiments.

Ils peuvent communiquer toutes sortes d'émotions et de messages.

L'espace qui se crée entre eux se modifie. Le spectateur peut les bouger lui-même. Il peut, par l'attitude qu'il leur donne, faire passer un message aux autres spectateurs. Par cela, il s'approprie la sculpture en devenant sculpteur d'espace et de sentiments.

Le mouvement de ces sculptures n'est pas dû à un mécanisme, mais c'est la main de l'être humain, avec ses sentiments, qui les tourne. Cette main donne la vie, sa vie, son message, son intuition, son regard, ce qu'il est, ce qu'il veut dire.

 

SALONS

2007 : Graver Maintenant, Rueil Malmaison

2006 : Invitée d'honneur du salon d'Ermon (Val d'Oise)

2006 : La Défense, Salon ARTPAGE

2004 : Invitée d'honneur du salon d'Elbeuf

2001 : Invitée d'honneur du salon du Vésinet

2001 : Invitée d'honneur du salon de Maurepas

1999,2000 : Le Vésinet, 2000 Prix de sculpture

1997,2000 : Versailles, Salon des salons d'art

1998 : Montesson, Prix du salon de sculpture

1996,1997,1998 : Saumur et tour de France des haras nationaux

1996 : Matière & Maniere, Paris Le Louvre

1993 : Artistes français, Paris

1990 à 1997 : Figuration Critique, Paris

1990 à 1994 : Contemporaines, Paris

1990,1991,2000,2002 : MAC 2000, Paris

1989,1991 : Biennale des Beaux-Arts, Paris

1988,1989,1992 : Ateliers d'Art, PAAS, 1992 Ob'Art

1985 à 2007 : Chatou

1984,1985 : Violet, Paris

MUSEES

Une pièce au musée de Pontarlier

Une pièce au musée Tessé au Mans

Une pièce au musée de la Briqueterie Baie de Saint Brieuc

EXPOSITIONS PERMANENTES

Marcq-en-Baroeul 59700, Galerie Septentrion, chemin des coulons, tél 03 20 46 35 80

FUTURES EXPOSITIONS

Sculpture en l'île à ANDRESY, 78, pour 4 mois, embarcadaire face à l'Hôtel de Ville. Installation en plein air de ses "Fantômes", exposition avec 30 autres artistes, du samedi 17 mai au dimanche 14 septembre 2008

Manège Royal, Place Royale, Saint Germain en Laye, avec les Ateliers Extraordinaires, 60 artistes, 5 oeuvres chacun, du 24 mai au 01 juin 2008

Chatou 78, Les Fantômes de l'atelier. En permanence à mon nouvel atelier, 20bis rue des Beaunes, depuis septembre 2007.

Chatou, 78, Portes ouvertes, avec les artistes de la ville de Chatou, samedi 27 et dimanche 28 septembre 2008 de 15h à 19h.

Chatou, 78, Salon des Beaux Arts, novembre 2008

EXPOSITIONS PERSONNELLES

2008 : Galerie Clac, Aurillac, Auvergne

2002 à 2007 : Ouverture de l'atelier fin sept, dernier week-end

2004 : Galerie Guillaume, Paris

2001 : Alice au pays des artistes, Paris

2001 : Golf du Sart, Villeneuve d'Asq - Nord

2000 : Galerie Visage de l'Art, Marly-le-Roi

1996 : Le Ressort de la créativité, Paris

1995 : Galerie 7, Nogent-le-Rotrou

1994 : Galerie Jean César, Paris

1993 : Aéroport d'Orly Ouest

1992 : Musée de Pontarlier, Doubs

1992 : Galerie Hexagone, Aix-la-Chapelle, Allemagne

1991 : Galerie Sylvie Bruley, Paris

1990 : Galerie Lhomme, Paris, Bastille

1990 : Galerie Vendôme Rive-gauche, Paris

1990 : Galerie Promediart, Aix-en-Provence

EXPOSITIONS DE GROUPES

2006 et 2007 : Mil Arti's, Croissy-sur-Seine, (78)

2007 : Galerie Garance, St Germain en Laye, (78)

2006 : Terre Sauvage, Levallois, (92)

2006 : Musée de La Briqueterie, Baie de Saint Brieuc

2006 : Couleur de la Vie, Bailly, (78)

2005 : "Where I Fell In Love Gallery" "Shipston-On-Stour " Warwickshire, ANGLETERRE

2004 et 2008 : Sculptures en l'ile d'Andrésy, (78)

2004 : Salon de l'Estampe, Rueil-Malmaison

2004 : Les Fenêtres qui parlent, Lille

2000,2002,2004 : Manège royal, Saint Germain-en-Laye

2002 : Galerie Septentrion, Marq-en-Baroeul, Nord

2000 : Art Animalia, Chateau de Nogent-le-roi

1998 : Centre national de l'estampe, Chatou

1997 : Genre Féminin Pluriel, Roanne

1997 : Galerie La Commanderie, Saint-Emilion

1996 : Chateau de Brugny, Epernay

1995 : Musée Vera, Saint Germain-en-Laye

1995,1997 : Biennale internationale, La Ramée et Bruxelles

1995 à 2003 : Week Art, Le Mans

1994 : L'art dans l'Orne, Argentan

1996 : Rendez-vous du monde, Paris, Tour-Eiffel

1992 : Espace SEMA Pleyel, Paris

1990,1991 : Galerie A.J Buci, Paris

1989 : Galerie Excalibur, Annecy

1988 : Chateau de Maisons-Laffite

1986,1987 : Chapelle St Léonard, Croissy-sur-Seine

1978 : Galerie Héloff, Paris

RECOMPENSES

2000, Salon du Vésinet : Prix de sculpture

1999, Chatou : Prix du sénateur

1998, Montesson : Prix du salon de sculpture

1996, Chatou : Prix du conseiller général

1985, Salon Violet : Médaille de bronze de la ville de Paris

1984, Salon Violet : Mention

Retour