Principales demeures de la famille                  Edition imprimable
Virnot-Virnot de Lamissart

Armoiries-Virnot-de-Lamissart

 L'hôtel Virnot
 place Saint Martin à Lille

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comprenant les deux maisons; celle de droite fut reconstruite au XVIII° siècle.
La famille Virnot habitait dans les lieux depuis la première partie du XVII° siècle.

La famille vivait dans cet endroit depuis le XVII° siècle et avaient fait construire leur demeure en 1772: derrière une façade simple mais ample, l'hôtel est remarquable par sa vaste cage d'escalier (où se trouvait le grand tableau de la famille Carpentier), le grand salon avec la cheminée Louis XVI en marbre bleu turquin, la salle à manger dans les vboiseries de laquelle s'enchassaient les six portraits ronds au pastel des filles et belles filles d'Urbain-Dominique Vinrot, le bureau voûté de briques roses où les aïeux rangeaient leurs archives; vastes dépendances; dans les caves étaient stockées les épices et le sel.

M. et Mme Virnot-Lenglart habitaient rue de Gand (place Saint-Martin), un hôtel où la jeune génération donna de charmantes représentations avant les sombres jours de la Révolution et de l'Invasion ; Dans l'hôtel de la rue de Gand, une vaste salle avait longtemps servi déjà de théâtre de Société. Louis Lenglart brossait les décors; la jeune et élégante Catherine Virnot de Lamissart, épouse de Dominique Virnot était une prima Donna délicieuse et on se rappela longtemps une représentation de la Flute enchantée, particulièrement brillante. 

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Les ancêtres Carpentier peints par Jacops en 1602, tableau resté dans la cage d'escalier de la place Saint Martin  chez les descendants

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L'hôtel Virnot

Rue de Gand à Lille

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Derrière une façade austère, une merveilleuse  maison de famille, cage d'escalier remarquable d'harmonie avec ses marbres variés, ses colonnes ioniques et consoles Louis XVI, sa rampe de fer forgé noir et or; vaste salon aux boiseries d'époque Louis XVI provenant de l'ancien hôpital de Lille; l'hôtel est contigu à la chapelle des carmes du XVIII° siècle.

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Voici La famille descendant d' Urbain Virnot et Marguerite Ovigneur réunis en L’hôtel de la rue de Gand à Lille Les 10 et 11 septembre 2005.

L'hôtel VIRNOT de LAMISSART
44, rue de la Barre à Lille  
Armoiries-Virnot-de-LamissartArmoiries-Lenglart
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L'hôtel Virnot de Lamissart puis Quecq d'Henriprêt,

construit par Charles Virnot de Lamissart de Musemberg (1737-1808) second fils de Dominique, Syndic de la Chambre de Commerce en 1748 et de Marie-Marguerite COUSIN, frère d'Urbain Dominique Virnot et Catherine  Lenglart
Baptisé a St-Etienne le 13 Janvier 1737, 
licencié es-lois, 
Bourgeois de Lille par relief du 3 Avril 1761, 
avocat au Parlement de Flandre, 
Procureur du Roi aux Eaux et Forets.
Conseiller Municipal en 1807
Trésorier de la Ville de Lille
Le 2 Juin 1760, à St-Etienne, il avait épousé Marie-Alexandrine LENGLART, fille de Nicolas-Hubert et d'Alexandrine Carpentier, baptisée dans cette église le 12 Janvier 1742, décédée le 30 Juin 1818, ayant eu neuf enfants.

Parmi eux,

Rose-Marie Virnot de Lamissart (1772-1851) , épx  13 Brumaire an III (Novembre 1795)  Jean-Baptiste PROUVOST, né la Madeleine-lez-Lille, âgé de 29 ans,  sans postérité. Remariée à Marie-Jean-Charles Gennart, receveur des domaines, + 12/2/1834, + par. St-André 15/11/ I881;sa sœur, Catherine-Sophie Virnot de Lamissart,  née 18/1/ 1777, déc. Wazemmes, 5/7/I859, épx 9/6/1800, de Dominique-François Virnot, son cousin, dont postérité.

Jean PROUVOST ca 1545-
& Antoinette LEBLAN ca 1550-

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Pierre PROUVOST ca 1585-1623

 

Guillaume PROUVOST ca 1580-

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Pierre PROUVOST /1623-1697

 

Pierre PROUVOST 1606-1681

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Guillaume PROUVOST 1660

 

Pierre PROUVOST, Echevin de Wasquehal 1648-1691

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Marguerite de Lespaul

Robert Joseph PROUVOST 1699-

 

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Jean Baptiste PROUVOST 1744-

 

 

 

 

 

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Jean Baptiste Joseph PROUVOST 1765-1797

Rose Marie Virnot de Lamissart

 

 

 

 

 

Son frère Louis-Urbain Virnot de Lamissart ne le 23 Novembre 1779, décédé le 20  septembre 1837 ; en  Prairial an X (3I Mai I802), épx Aimée-Joseph PROUVOST, décédée le 30 Mai 1819, 44 ans, dont un fils Urbain-Léon PROUVOST, né le 29 Fructidor, an XIL  (16 Septembre 1804),+ 26 Vendémiaire I5/12/04.

Ils possédaient  deux magnifiques hôtels particuliers :

.Hôtel de Lamissart (Prouvost)
130 rue Royale à Lille 

Façades et toitures sur rue, sur cour et sur jardin (cad. HI 13) : inscription par arrêté du 1er mars 1978

L’hôtel de Lamissart (-Prouvost), 130 rue Royale à Lille, demeure admirable de Louis-Urbain Virnot de Lamissart ne le 23 Novembre 1779, décédé le 20  septembre 1837 ; en  Prairial an X (3I Mai I802), épx Aimée-Joseph PROUVOST, décédée le 30 Mai 1819, 44 ans, dont un fils Urbain-Léon PROUVOST, né le 29 Fructidor, an XIL  (16 Septembre 1804),+ 26 Vendémiaire I5/12/04. Dans l'église Saint André, en face, dont les verrières sont ornés des blasons des familles alliées aux Virnot, eurent lieu les funérailles nationales de François de Négrier dont le fils épousa une petite fille Virnot. http://www.virnot-de-lamissart.com/H%F4tel%20Virnot%20de%20Lamissart%2052%20fa%E7ade%20de%20l%92Esplanade%20Lille.html

Hotel de Lamissart à Lille (cour d'honneur)Hotel de Lamissart-Prouvost'a Lille facade sur la rue RoyaleHotel-Virnot-de-Lamissart-Prouvost-rue Royale Lille

  Hôtel Virnot de Lamissart (Prouvost)
52, façade de l’Esplanade (angle rue de Jemmapes) Lille

Hôtel Virnot de Lamissart 52 façade de l’Esplanade LillHôtel Virnot de Lamissart 52 façade de l’Esplanade Lille
A propos de l'hôtel Virnot de Lamissart, 52, façade de l'Esplanade, en janvier 1838, Barthélemy Delespaul, dit Delespaul Aîné, propriétaire avec son frère de la filature de lin Delespaul & Delespaul, maire adjoint de Lille, bienfaiteur des Hospices de Lille, Une rue de Lille portera son nom. 1805 – Lille-2 octobre 1854 4 à 49 ans, fils de Barthélémy Delespaul 1778-1813 et Henriette Julie Françoise Pollet, achète aux héritiers de Monsieur Virnot-Delamyssart, moyennant 91.720 francs, une belle maison avec atelier adjacent, située 73 rue de Jemmapes à Lille (actuellement 52, façade de l'esplanade à Lille), succession de Louis-Urbain VIRNOT de LAMISSART, 9° enfant de Charles-Louis, né le 23 Novembre 1779, décédé le 20 Septembre 1837 ; le II Prairial an X (3I Mai IS02), il avait épousé Aimée-Joseph PROUVOST, décédée le 30 Mai 1819, âgée de 44 ans, dont un fils Urbain-Léon VIRNOT de LAMISSART, ne le 29 Fructidor, an XII (16 Septembre 1804), décédé le 26 Vendémiaire (I5 Décembre de la même année). Ils étaient aussi propriétaires de l'hôtel de Lamissart, 130, rue Royale à Lille.


Le château Virnot
à Renescure (Nord)
Louis-Joseph VIRNOT
,  Banquier à Paris, né le 10 Juillet 1781, décédé en 1829. Au partage de 1810, Louis Virnot fit avec Charles Lethierry l'échange de terres d'un hectare et demi à Wambrechies contre quatorze hectares de bois à Renescure, où il fit construire le château Virnot.

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 Château Virnot

Les trois propriétés Virnot de Mons-en-Baroeul

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Urbain Virnot et ses petits enfants sur le perron du château Wibaux , une des trois propriétés Virnot contigues à Mons en Baroeul près de Lille;

« A Mons-en-Barœul, il; y avait trois propriétés contigües:

Celle du centre, aux Urbain Virnot, était devenue la maison de campagne de la famille Virnot; elle sera habitée par Simone Virnot puis par Madame Charles Prouvost qui la lui louait après son veuvage.

Celle de gauche, construite par Urbain Virnot-Derode: louée puis vendue à une famille Wibaux  qui avait deux enfants aveugles (un garçon et une fille)  venant très souvent chez les Urbain Virnot, celui qui participa à l’élaboration du Grand Boulevard.

Celle de droite depuis la rue fut reprise par les Franciscains puis agrandie, avec une chapelle; elle était habitée par les Cardevrac d’Havrincourt, parents des Faucheur; depuis, les franciscains ont vendu et construit au fond du jardin. Il y avait aussi deux fermes de style flamand en exercice où la famille allait chercher du lait.» Brigitte Prouvost-Virnot


Les  Hôtels et propriétés Le Thierry d'Ennequin
"Apres avoir liquidé le 21 Avril 1789 le partage des biens délaissés par son oncle Gabriel le Thierry, Sgr de la Butinerie, et le 22 Avril suivant le part âge de la succession paternelle, demeurée indivise depuis 1782 En vertu du premier de ces partages, Charles Le Thierry d'Ennequin reçut la propriété des deux maisons de la rue a Fiens et celle d'une rente sur les Assennes n°402 constituée par lettres du 6 Juillet 1643 au profit de Sieur Liévin Laignel. 
En vertu du second partage il reçut le fief d'Ennequin Monnoyer estime I7.0OO florins, une maison située au coin des rues Royale et Française, une seconde maison située au coin des rues Royale et française E. 550, une maison rue Royale E 551, des maisons rue Notre-Dame, de l' Abiette, des Terres a Fives et Mons-en-Barœul, Lomme, Tourcoing, etc. 
La maison de la rue Esquermoise étant échue a sa soeur, Charles Ie Thierry d'Ennequin alIa habiter l’hôtel de la rue à Fiens, où son oncle Gabriel était décédé.
Parmi les autres apports figuraient trois maisons.rue Royale, trois rue a Fiens, d'autres encore rues du Lombard, Notre-Dame, de l'Abbiette, des Fosses, et des terres a. Mons-en-Baroeul, a. Neuville-en-Ferrain, à Sailly-lez-Lannoy, a Lomme, etc.
Conseiller Municipal de 1807 a 1830, membre de la Chambre de Commerce (3), Charles Lethierry-Virnot fut aussi Président du Conseil de Fabrique de l'église St-Maurice, puis de l'église St-André, qu'il contribua a décorer par une verrière a ses initiales ; Les initiales C. L. T. E. s'y trouvent reparties sur deux écussons ovales; la vieille argenterie de Charles Lethierry-Virnot était seulement marquée d'un T. 
Cette époque de 1820 à 1840 qui fut la plus brillante de la carrière de Charles Lethierry, fut aussi celle de l'apogée de sa famille. Son fils Urbain était membre du Conseil d'Arrondissement et de la Chambre de Commerce, son fils Désiré était Maire de Lille, son neveu Carlos.de Beaupuy, adjoint, son neveu Louis Mottez, conseiller Municipal, son cousin J.B. Quecq de Sevelingue, conseiller général et François Barrois, le beau-père de ses enfants, Président du Tribunal et de la Chambre de Commerce. 
Peu après la visite royale, Charles Lethierry laissa a son fils Lucien, la filterie (La multiplication a Lille des filatures devait en 1863 mettre fin a cette ancienne industrie locale.), avec la jouissance de l'hôtel de la rue a Fiens, et alla résider dans celui de la rue Royale (N° n6) qui lui était échu an partage de I810. 
La maison de « Bon papa Thierry» était hospitalière et
patriarcale (Le foyer de Charles Lethierry était celui de ses quatre fils célibataires, Alix, Léon, Louis et Edouard ; d'Urbain, l'ainé, qui veuf deux fois vint avec ses trois enfants se réunir à son père ; de M. de Beaupuy, son beau-frère revenu d'émigration et retire du service militaire, de Carlos de Beaupuy qui passait dans la demeure de son oncle tout le temps qu'il ne consacrait pas à la capitale, de Madame Mottez, de ses enfants et petits-enfants qui y firent de fréquents séjours. Le chevalier de Basserode, M. Faure-Dujardin, maire de Wazemmes, qui mourut à 95 ans, Victor-Virnot en étaient les hôtes assidus...) : Des le retour de la belle saison, avec toute sa famille, il se transportait a. la campagne de Wazemmes, où, comme son père, il passait tous les étés ; il y donnait de grandes fêtes. 
Chaque année cependant, cette campagne perdait de ses agréments champêtres et des constructions finirent par l'entourer de toute part (Le parc fut morcelé peu à peu. Sur une partie de ses terrains, on perça d'abord la rue d'Antin. Un hectare et demi fut exproprié au prix total de I franc pour créer la place de la Nouvelle-Aventure, puis un bois touffu sis en face de cette place fut livré aux constructions. En 1858, il ne restait plus en dehors des quatre cents verges sur lesquels s'élevait l'habitation, que le jardin Anglais d'une contenance de huit cents verges, séparé par une ruelle et auquel on accédait par deux chemins souterrains en pente douce. Apres le décès d’Alix Lethierry, le restant de cette propriété fut vendu a. M. Le Blan le 3 Mars 1879.
A l’extraordinaire développement de cette commune suburbaine qui maintenant comptait 20.000 habitants, Charles Lethierry contribuait avec sa générosité habituelle par ses largesses répétées aux bonnes œuvres, aux écoles, aux maisons religieuses, aux deux églises qu'il vit bâtir. Son grand âge n'avait aucunement affaibli ses facultés (Nous avons sous les yeux une lettre écrite le 25 juillet 1847 par Charles Lethierry à son fils Urbain voyageant alors en Espagne. Elle montre combien a quatre-vingts ans, il avait le jugement net et a la veille de la révolution de 1848 une claire prévision des évènements; il jouissait d'une excellente santé qu'il attribuait aux salutaires exercices de la chasse et à la régularité de l'existence. 
Dans les dernières années de sa vie, son neveu le peintre Victor Mottez exécuta d'après lui un portrait magistral, absolument dans la manière de Mr Ingres. Le vieillard est représenté de profil, la boutonnière ornée d'un large ruban rouge, tel qu'il se portait en ce temps-là. 

Apres avoir célébré leurs noces d'or, et fêté encore pendant douze ans 1'anniversaire de cette date solennelle, Catherine Virnot, mourut a. Lille, en son hôtel de la rue Royale, le 23 Mai 1851, âgée de quatre-vingt-un ans et son mari, le 7 Janvier 1858,
agé de quatre-vingt-douze ans, inhumés l'un et l'autre en leur caveau du cimetière du Sud (Les témoins du décès de Charles-Marie-Désiré Lethierry furent Auguste Lenglart et Henri Barrois, ses petits-fils. 
Son testament du 27 avril 1852 contenait un legs en faveur des pauvres de Wazemmes.

Demeures habitées par les Barrois et alliés:

François-Joseph Barrois 1759-1848

Baptisé le 23 Mars 1759, fils de Jean-Baptiste et de Marguerite Lucet, filateur de coton, épousa le 25 Octobre 1785, Alexandrine-Joseph VIRNOT,

Virnot-armoiries

Le texte de leur contrat de mariage est rapporte dans le Caducée et le Carquois. En 1790, François Barrois fit pour ses affaires un voyage en Italie au cours duquel il échangea avec son épouse, une délicieuse correspondance qui, publiée récemment, remit le couple en évidence. Ils habitaient originairement rue des Malades (de Paris) une maison avec grand' porte et quatre fenêtres à coté de leur petit magasin. Ils s'installèrent ensuite dans un très grand hôtel, 45, rue de Tournai. Les salons, situes au premier étage donnaient sur une terrasse et un escalier qui descendait a un vaste pare. « François Barrois avait des idées plutôt Voltairiennes ». Son buste se trouvait jadis chez M. Theodore Barrois-Demesmay. Les archives Départementales conservent un plan de cette propriété, dresse en 1820 par François Barrois (Quarre-Reybourbon p. 79). Le Chemin de fer du Nord l'expropria pour y établir sa gare, les propriétaires furent indemnisés par des titres qui les firent les plus gros actionnaires de la Compagnie après les Rothschild. Mais le chagrin qu’Alexandrine Virnot en ressentit ne fut pas sans hâter sa fin.  II jouissait en outre d'une très grosse fortune en terre du chef de sa femme. Mme DELESALLE-DUBUS. Etat des tableaux et objets d'art de sa propre  succession, Président de la Chambre et du Tribunal de Commerce, Conseiller Municipal en I807, adjoint en I8I8,puis Maire de Lille par ordonnance royale du 12 Août I830, Député du Nord en 1824 et en 1831,il fut l'un des principaux actionnaires-fondateurs du chemin de fer du Nord et des Mines de Lens ;Henry-Louis DUBLY : Le Caducée et le Carquois. Lille, édition du Mercure de Flandre, Monographie rédigée par Charles Le Thierry d’Ennequin en 1930.

Francois-Barrois-Virnot

Barrois-Alexandrine-Virnot

Rue du Faubourg de Roubaix à Lille :

N °137 : démolie ; au 135 bis, demeure une belle maison bleu et blanc de style Louis XVI

N° 135 : Démolie ; reste un grand jardin

N ° 159 : remplacé par un HLM en brique

N° 152, face au 159 ; c’est un petit hôtel particulier de style Louis XV

N° 124 : bel hôtel particulier à l’angle du 2 bis, rue Mehl

N° 211 : non reconnaissable sauf les restes d’un grand jardin

N° 104 : grande maison Louis XVI, grise, grand mur, porche

N° 106 : petite maison étroite, pas belle.

 

Et à Roubaix :

Le 19, Grande Rue

29, Grande Rue,

16, rue Pellart

Estaires.

Marie-Paule Fauchille-Barrois en a raconté l’hisoire et la vie dans son touchant : « Vos aïeux que j’ai connus »

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